1. L'invitation au château


    Datte: 22/11/2018, Catégories: fh, fhh, fbi, hplusag, extracon, cocus, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral sm, piquepince, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... imposante ne put que les frapper.
    
    En repensant, aujourd’hui encore, à tout ce qui se produisit à cet instant, Estelle et Loïc eurent du mal à imaginer que ce qui se passait alors était vraiment réel. S’ils n’étaient pas deux pour témoigner que tout ceci ne pouvait être un rêve, ou peut-être un cauchemar.
    
    À partir de ce moment rien ne se déroula comme ils auraient pu seulement l’imaginer. Très vite le « valet » proposa à Estelle de l’accompagner en demandant à son mari de patienter un instant dans le vestibule. Cette situation l’intrigua et il essaya d’en imaginer la raison. Mais plus il y pensait et plus tout cela attisait son impatience. Bientôt cette attente lui parut interminable.
    
    Cela faisait près d’une demi-heure qu’il attendait seul dans cette pièce étroite quand il se risqua à pousser la porte. Où plutôt à vouloir pousser la porte, car il se rendit rapidement compte qu’elle était fermée à clé et qu’il était enfermé !
    
    Il se mit alors à frapper. D’une façon ferme, puis de plus en plus fort ! Il s’épuisa littéralement à taper sur cette paroi sans recevoir aucune réponse. Et il ne put imaginer, quelle que soit la taille de la demeure, ne pas être entendu ! Ce n’est qu’après de longues minutes, alors qu’il commençait à craindre le pire pour lui comme pour son épouse, qu’on vint enfin lui ouvrir.
    
    Il s’attendait à voir le valet… et se fut la femme du patron qui entrouvrit la porte. Elle portait une robe des plus troublantes et était plus belle et désirable ...
    ... encore que l’autre jour. Il faut dire que le vêtement qu’elle portait dévoilait tout autant qu’il en dissimulait.
    
    Sur toute autre personne, cette robe longue mais fendue sur toute la longueur de la cuisse et insolemment transparente aurait paru vulgaire. C’était un peu sur son corps sublime comme un fourreau qui l’enveloppait, et avait la transparence d’un collant couleur chair. Tout cela, alors que ses superbes jambes étaient agrémentées de jolies chaussures noires à talons vernis, lui offrait la grâce d’être élégamment habillée tout en paraissant quasiment nue ! Et puis il y avait cette odeur, la même que celle de l’autre soir, qui enveloppa à nouveau Loïc, cette odeur dont il était déjà amoureux.
    
    Sa colère se mit subitement à fondre et il se sentit devenir comme un petit garçon, quand elle le prit par la main. Avec ses chaussures, elle avait presque la même taille que lui ! Elle le conduisit dans un couloir, puis par un grand escalier à une pièce obscure qui lui parut être une antichambre. Mais très vite son attention fut captée par la lueur qui venait d’un cadre paraissant accroché au mur et qu’il découvrit rapidement comme étant un miroir sans tain !
    
    Son hôtesse qui n’avait pas lâché sa main, se plaça derrière lui, et tout en venant mettre son corps au délicieux contact du sien, commença à lui caresser délicatement le torse sous sa chemise afin de lui procurer le réconfort nécessaire à la scène qui devait se révéler à lui !
    
    Il s’attendait à voir sa femme avec le ...
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