1. Zoé ma voisine - 1


    Datte: 22/11/2018, Catégories: fh, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Oral fsoumisah, Auteur: Vibescu, Source: Revebebe

    Zoé est ma voisine depuis un peu plus de deux ans. Le gardien de l’immeuble, on peut même utiliser le terme devenu péjoratif de concierge dans son cas, m’a parlé d’elle sans que je ne lui aie rien demandé. Je sais donc que cette jeune et jolie jeune femme occupe un appartement donné par ses grands-parents, qu’elle y a emménagé avec un copain qui s’est fait virer six mois après. Quand il était rentré de week-end, il avait trouvé ses affaires empilées dans des cartons devant la porte, les serrures changées, son numéro de téléphone bloqué et la belle partie pour une semaine aux antipodes.
    
    Je la croise dans l’escalier quand je pars ou reviens de courir, parfois en tenue de sport d’autres fois très classique, tailleur escarpins. Je la trouve adorable, quelle que soit sa tenue. C’est une grande blonde comme je les aime, cheveux longs, yeux bleu très clairs, la peau très blanche, style scandinave. Je lui donne dans les vingt-cinq ans, bien quinze de moins que moi, on se croise dans l’escalier, « bonjour, bonsoir », son sourire est éclatant, elle a bien sûr compris qu’elle me plaisait, mais son âge me dissuade de toute tentative de la draguer. Elle a un corps de sportive, mince et musclé, des seins plutôt menus, mais un fessier rebondi absolument sublime.
    
    C’est elle qui a pris l’initiative, comme ça arrive le plus souvent avec les femmes, même si elles nous font croire le contraire. Je me lève assez tôt le matin et vais courir une heure, hiver comme été, même quand je suis en ...
    ... déplacement. C’est ma façon de me maintenir en forme, parce que je suis plus que sédentaire, j’écris des chroniques pour un journal, je me déplace de temps en temps en région pour des conférences et j’essaie d’écrire un livre, le tout chez moi. Un vendredi matin, je l’ai rencontrée dans le hall de l’immeuble en rentrant de ma course matinale. C’était l’hiver, elle était ravissante, très élégante et discrètement maquillée. Ses cheveux étaient coiffés en chignon, elle sentait bon. Au lieu du bonjour rapide habituel, elle m’a demandé :
    
    — Vous voulez bien que je vienne avec vous si vous allez courir demain ? Seule, j’ai un peu la trouille quand il fait encore nuit.
    
    J’ai bredouillé un « oui bien sûr », et perplexe, je l’ai regardée partir, les yeux fixés sur sa nuque dégagée par les cheveux relevés, qui appelait de tendres baisers. En fait sa nuque ne demandait rien, c’est moi qui ne peux pas voir une jolie blonde comme elle sans m’imaginer… Bon, restons décents. Fort heureusement j’ai une chronique à finir, deadline dix heures, parce que date butoir, plus personne ne connaît ça dans la presse, je boucle, je l’envoie par mail, et je file me changer, j’ai un déjeuner avec le rédac’ chef à treize heures. La journée passe vite et je me couche tôt après avoir réussi à écrire deux pages de mon futur bouquin.
    
    Le lendemain matin à sept heures tapantes elle sonne à ma porte, vêtue en sportive, belle et lumineuse, sans maquillage. Elle me claque la bise avec le plus grand naturel. ...
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