1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1044)


    Datte: 21/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... J’activai donc ma succion, et petit à petit, sans savoir pourquoi, quelque chose en moi se déclencha, trouvant somme toute normal ce que j’étais en train de faire. Quelque chose qui émergeait de je ne sais où, venant du plus profond de mon être. Je me dégoutais mais en même temps, je me remettais à mouiller comme une véritable salope. Ce qui commençait à être en ébullition, devenait de plus en plus significatif dans ma chatte, elle devait trempée de désirs, de débauche, de perversion… De ma vulve, gonflée, commençait de sourdre ma cyprine que je ne pouvais retenir. Mieux encore, j’en eux une sorte de plaisir, trahie une fois de plus par mon cher clitoris qui s’érigeait de plus en plus, tandis que je pompais de plus en plus activement l’énorme phallus gonflé de désirs. Tout en alternant les succions et les aspirations le tout en léchant les contours du gland, je me surprenais à me de dire « es-tu en train de devenir cette salope ou cette chienne dont Il te parlait, tout à l’heure ? » Le simple fait de me relater cette phrase me fit ressentir à nouveau la fameuse boule en bas du ventre, et je sentis mon sexe suinter à nouveau. En cet instant même, le chauffeur éjacula et ne m’y attendant pas, je faillis m’étouffer tant il y avait un flot de sperme abondant venant dans ma bouche par saccades et je dus m’y reprendre à deux fois pour tout avaler. Je restai ainsi, sans bouger, tandis que lui, reprenait ses esprits. Lentement, il sortit de ma bouche mais restait, de belle droiture ...
    ... encore. De la fente de son méat, coulait encore du liquide, ce qui lui fit dire, sans concession :
    
    - Nettoie, salope !
    
    A nouveau, je passai la langue sur le gland que je nettoyais de mon mieux, prenant en bouche le dit gland le pressant avec ma langue contre mon palais. Puis enfonçant ma bouche plus bas sur la tige, refermant mes lèvres, je remontais lentement pour la vider le plus possible. Même ainsi, je récupérai une bonne quantité de foutre que j’avalais aussitôt… Le Majordome referma sa braguette, me fit signe de sortir et rejoindre l’entrée de mon immeuble. Il me suivait des yeux comme si j’étais surveillée, puis il rentra dans la voiture, démarra et s’en retourna… Prenant l’ascenseur, j’eus en bouche à nouveau le goût de son sperme et ne trouva rien à redire de ce que je venais de faire. Revenue chez moi, je me jetais dans un bain très chaud, me détendis et ma main commença à me caresser, tellement cette situation m’avait excitée. Puis subitement, j’arrêtai me disant :
    
    « Il n’aimerait pas que toute seule, je me caresse. Allons, il n’est pas là, laisse toi aller, tu as si envie, aller ! Il n’est pas là, personne ne te voit… personne ? ».
    
    Je commençais à en douter, ne sachant pas pourquoi ! Dans le doute, je préférais rester sur ma faim même si j’avais très envie, la peur de la cravache me rappelait sans cesse les risques encourus. Je m’endormis encore une fois ainsi dans la baignoire. Je fus réveillée par le froid du bain et après m’être séchée, je me blottis ...