La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1044)
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... bas de chez moi, dans ma rue, alors que des passants ou voisins connus de moi, pourraient déambuler et me reconnaître même.
- Regarde dans ton sac, petite chienne.
Mon sac, oui mon sac, qu’y a-t-il dans mon sac, semblait dire mon regard ?
- Regarde mais fais vite, je n’ai pas tout mon temps.
Fébrilement j’ouvrais mon petit sac, et y trouva en effet une lettre cachetée écrite de la main du Maître, tandis qu’instinctivement je refermais le compas de mes jambes.
- Les jambes, petite salope, les jambes bien écartées, je veux voir ton petit minou ma belle !
J’écartai à nouveau largement les jambes, dévoilant un sexe très humide, je l’avoue, et ouvris l’enveloppe tout en regardant le chauffeur qui attendait et je lus à demi voix, doucement, comme si je ne voulais pas qu’on m’entende :
« Ma chère petite salope de chienne, ma nuit a été à la hauteur de ce que j’attendais de toi, te démontrant je l’espère la réalité de ton être. Le but de la rencontre de cette nuit était de te montrer ce que tu allais vivre si tu l’acceptes définitivement. Moi, je sais déjà qui tu es ! Quand tu liras cette lettre, c’est parce que Walter mon chauffeur te l’aura demandé d’ouvrir ce pli. C’est prévu, comme il est prévu également que tu accèdes à son ordre sans tarder. Dans le cas contraire, je devrai considérer que tu as à nouveau commis une erreur et tu sais comment je corrige les fautes de femelle comme toi. Fais donc ce qu’il te dit sans tarder, puis chez toi, tu poursuivras la ...
... lecture de ma lettre. Tu y trouveras mes instructions. Walter me dira, revenu, si tu as obéi rapidement ou pas à mon exigence. A toi de voir. Tu es parfaite comme esclave/chienne en devenir, ne me déçois pas, jamais, tu as un tel potentiel dans la soumission, je parle de la véritable soumission, celle qui te permettra de découvrir ton équilibre mental pour te sentir à ta véritable place, esclave à Mes pieds. Le Maître »
Je restais abasourdie, refermais lentement l’enveloppe. Lire Ses propres mots me transportaient dans un autre monde auquel j’avais de plus en plus de mal à me détourner… Alors je pris en main cette verge toujours aussi tendue au gland violacé et gonflé pour la masturber lentement. Mon dieu, si grosse, si longue, si épaisse ! Après un soupir de résignation, alors que mon bas-ventre commençait de nouveau en ébullition, j’ouvris grand la bouche mais ferma les yeux. J’avais beau ouvrir la bouche en grand, j’eus du mal à engamer le gland si volumineux que je dus forcer sur ma mâchoire pour y arriver. Je commençais de le sucer lentement, trop lentement à son goût car il me lança ces mots sur un ton d’exigence :
- En suçant ainsi, je vais mettre dix heures à jouir salope de chienne, active-toi sinon je te cravache les fesses dans la rue et tu réveilleras tout le quartier par tes cris et…
Ses yeux devenaient menaçants, froids, un frisson de dégout me parcourut l’échine. Je ne le laissai pas terminer sa phrase car je me remémorai immédiatement la cravache. ...