1. De douleur en PlaisirS 4


    Datte: 21/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Sexe Interracial Auteur: charime, Source: xHamster

    ... couleurs. Puis, elle délivre Mariko qui vient embrasser ma queue avant d’aller mettre de la musique lascive. Devant Isabelle et moi, entièrement nue, elle danse sur les punaises. Parfois, souvent même, elle se roule sur le sol, toujours sur les punaises. Elle grimace, son visage se tord même de douleur et pourtant, elle continue. Je connais ce slow, il dure presque 20 minutes dans sa version remixée. Et Mariko danse encore, lascive, n’hésitant pas à se rouler sur le sol et les pointes, peu à peu même, tout son corps se recouvre de punaise qu’elle n’hésite pas à caresser et presser davantage. Isabelle lui sort alors la boite des aiguilles. L’une après l’autre, Mariko se les plantes sur son corps, dessinant une fleur sur chacun de ses seins, une plume sur ses cuisses, un cœur sur son ventre. La musique s’arrête, Mariko s’approche de moi, prend ma main, la pose sur ce cœur. Je l’enlace alors, l’embrasse en serrant son corps contre le mien, bien fort. Si je ne subis aucune piqure, ce n’est de loin pas le cas de Mariko. C’est Isabelle qui entre en jeu, me prenant Mariko, elle l’attache entre deux colonnes du lit et la fesse érotiquement.
    
    Ma queue devant la bouche de Mariko, sa langue vient me la caresser, la guider à l'intérieur de jolie petite bouche. C’est une jeune femme terriblement douce, majestueuse dans ses mouvements. Ce faisant, Isabelle retire toutes les pointes qui gisent encore sur le ...
    ... corps de Mariko. Elle y prend un certain plaisir, le faisant avec une petite pointe de sadisme pas vraiment désagréable pour l’homme que je suis. Quant à Mariko, sa chatte secouée par la main d’Isabelle, sent ses aiguilles quitter son corps et jouit longuement. Puis, enfin libre de ses mouvements, Mariko achève ma pipe avec un délice certain. Sur le lit, je couche mes deux donzelles pour les aimer et les faire s’aimer dans une partie fine à trois. Elle dura ce qu’elle dura, une grande partie de la nuit.
    
    Au réveil, trois corps sont encore allongés, ils s’étirent, des bouches embrassent des bouches, des mains caressent des corps. Le temps d’un déjeuner, Isabelle emmène Mariko dans son atelier pour la dessiner sous toutes ses coutures. J’en profite pour visionner tout ce que les diverses caméras ont enregistrés et il y a matière à bander. Je rejoins mes miss, toutes heureuses de me voir venir à poil.
    
    Dans l’atelier, Isabelle, dont l’imagination tourne à des vitesses vertigineuses, dessine, peint, nous met en scène Mariko et moi, photographie et se remet à réfléchir à la suite. Là, je suis en train de faire semblant (snif) de durement fesser Mariko. Quoique, je ne me gêne pas pour la fesser en douceur, ce qui enrage quelque peu Isabelle qui exige que nous ne bougions plus quand elle peint. Cela dit, si elle râle encore, Mariko et moi, nous nous sommes entendus pour la fesser cruellement, NA ! 
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