De douleur en PlaisirS 4
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Sexe Interracial
Auteur: charime, Source: xHamster
... est terminé. Alors, je me suis dite que je pourrais lui proposer un nouveau contrat, d’où sa présence ici. Là, pendant deux bons mois, j’ai de quoi peindre à ne plus savoir où donner de la tête. Mariko pourrait devenir notre femme de chambre, tu en penses quoi ?
- Que tu as eu là une foutue putain de bonne idée. Cependant, j’y mets une toute petite condition. Je refuse qu’elle se coupe les cheveux. Enfin, sauf si c’est juste les pointes, tu vois quoi !
- Monsieur Alain, je n’avais nullement l’envie de me les couper. Ce que vous me dites, sur mes cheveux, me rend heureuse autant que cela m’honore d’être à votre service.
- Tu peux me la déshabiller de manière lascive, j’ai une furieuse envie de vous regarder faire l’amour, toutes les deux. Mais pas ici, en haut, que cela soit filmé.
- Vicieux personnage, que voilà des idées comme je les aime.
Et aussitôt dit, aussitôt mis en action. Un DVD neuf et vierge dans le lecteur et silence, ça tourne et action ! J’ai une caméra en main, les trois autres sont en mode enregistrement. Je filme au plus près de l’action. Parfois, une main se perd sur ma queue tendue. Je ne sais pas combien de temps je vais résister avant de les attacher l’une à l’autre et de profiter de ces corps entremêlé. Peu à peu, je délaisse ma caméra, je la pose même sur son trépied. À l’aide de longue sangle, j’unis ces deux corps, tête-bêche. J’attache ensuite les pieds de l’une avec les mains de l’autre, tout en caressant ces deux corps. J’unis même ...
... leurs seins à l’aide de petites chainettes munies de pinces bien mordantes. J’affectionne ce que je fais, j’adore ce que je vis et je suis loin d’être le seul. Quand ma queue plonge entre les fesses de mon Isabelle, c’est pour l’entendre jouir. La langue de Mariko plonge dans son sexe largement ouvert, telle une magnifique rose pendant que je m’active dans ce cul. Ensuite, je les retourne pour venir enculer lentement Mariko que je sais déjà adorer être sodomisée à sec et graduellement. Elle aime que les brulures que cela engendres durent dans le temps. Une fois bien elle, là encore, je n’y vais pas en douceur, bien au contraire. Et cela hurle de tout côté, de plaisir. Quand cela ne crie pas, que cela ne hurle pas, les gémissements de mes deux gourgandines ne sont que des chants à la gloire des orgasmes qui les traversent.
Plus je sodomise Mariko, plus Isabelle se montre inventive avec sa bouche. Surtout quand elle la laisse glisser sur mon sexe qui va-et-vient. Je jouis dans ce cul, amenant un merveilleux orgasme dans le corps de Mariko. Il est grand temps de faire une pause.
- Mariko est une artiste masochiste comme moi. Elle ne peint pas, elle danse. Regarde bien, tu vas comprendre et bander encore.
Isabelle, délivrée, se redresse, m’embrasse amoureusement. Puis, près de cette commode, la caressant d’une main, elle ouvre un tiroir, en sort une jolie boite multicolore. Sur le sol, devant moi, elle vide le contenu, des punaises, des centaines de punaises de toutes les ...