1. La mère de ma copine Elodie (4)


    Datte: 20/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... commençais à connaître son intimité et surtout ses parties sensibles, c’est ainsi que je n’ai pas été bien long à commencer à l’entendre soupirer de plaisir.
    
    Son minou était complètement trempé de désir, son nectar suintait de partout, c’était vraiment un plaisir que de m’occuper d’elle. Ma main droite était accrochée à sa cuisse gauche, celle qui était posée sur le plan de travail ; tandis que ma main gauche était collée à sa fesse droite contre le mur. C’est le désir de butiner le fruit défendu qui a pris le dessus sur la trouille de me faire prendre par ma belle au réveil. Geneviève savait ce qu’elle voulait et maintenant je commençais à pouvoir répondre à sa demande à ma propre initiative. J’ai rapidement découvert que quand je mettais ma langue dans son vagin mon nez pouvait remplacer ma langue au niveau de son clitoris. À ce rythme-là l’inconvénient c’est que j’avais rapidement le visage couvert de nectar féminin. Que ce soit le goût ou l’odeur de sa cyprine, que ce soit ma position de soumission envers elle, que ce soit ses réactions par rapport à mes coups de langue entre ses jambes ; quoi que je fasse dans l’intimité de belle-maman, cela m’excitait.
    
    La maman d’Élodie appuyait sur mon visage, j’avais l’impression qu’elle voulait que j’aie encore plus de son nectar sur le visage. Elle me tenait par les cheveux et il lui arrivait de temps à autre de me les tirer, je me sentais vraiment à elle bien qu’officiellement je sois le chéri de sa fille. Il y avait un ...
    ... énorme suspense pour moi et la peur d’être pris mais en même temps j’ai l’impression qu’elle, elle n’avait peur de rien. Vu le contexte et l’endroit où nous faisions ça, Geneviève n’a pas été bien longue à prendre son pied. Pour mon plus grand plaisir, elle m’a encore gardé quelques instants la tête enfouie sous sa robe histoire que je lui fasse sa toilette intime. Une fois l’opération terminée je me suis relevé et elle a rabattu sa robe, il n’y avait plus de trace de notre méfait excepté une forte odeur de femme dans la cuisine.
    
    — Maintenant il va falloir que tu prennes l’habitude de me faire du bien quand je te le demande et il ne faudra pas que l’on se fasse attraper.
    
    — Tu vas me faire le plaisir de me donner ton boxer et d’enfiler ma culotte.
    
    — Je veux que tu m’appartiennes et je te partagerai avec ma fille.
    
    — Je te fais confiance pour ne pas te faire prendre avec ma culotte par Élodie
    
    — Au pire, je te laisse trouver une excuse.
    
    C’est sur ces mots que nous quittâmes la cuisine tous les deux vidés et épuisés. Je me suis donc exécuté à intervertir mon boxer avec sa culotte trempée, qui sentait bon la femme ; tout cela sous les yeux de Geneviève amusée. Nous sommes ensuite retournés dans le canapé pour regarder un peu la télé en attendant que sa fille se réveille. Élodie a fait une sieste de près de deux heures, quand elle est réapparue, elle avait encore la tête dans les nuages. Elle est venue m’embrasser avec gourmandise et sur le coup je n’ai pas réalisé que ...
«1...3456»