1. La mère de ma copine Elodie (4)


    Datte: 20/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... rien.
    
    C’est sans-gêne qu’elle s’est mise à me caresser le sexe, puis carrément me le sortir pour me le masturber ; en sachant bien que je n’allais pas rouspéter une crier de peur de réveiller ma chérie. Malgré ce traitement j’essayais de rester concentré sur la vaisselle que j’étais en train de faire, même si ce n’était pas évident. Elle essuyait et rangeait la vaisselle vraiment consciencieusement mais je pense que ce qu’elle faisait le mieux à ce moment-là c’était de me mettre le feu. Cela me faisait tout drôle d’avoir le sexe sorti au niveau de l’évier et auquel je ne touchais pas, j’avais vraiment l’impression que mon appendice était la propriété de Geneviève. Dans ces conditions, je peux vous garantir que tous les hommes sont prêts à faire la vaisselle le mieux possible pour rester le plus longtemps possible devant l’évier. À force de me tirer sur l’élastique ma future belle-mère a réussi à me faire éjaculer de longues giclées dans l’évier. Ça l’a faisait marrer...
    
    — On dirait que tu nous as balancé du liquide vaisselle.
    
    Voilà le genre de commentaire auquel j’ai eu droit.
    
    Geneviève m’a expliqué à l’oreille, après m’avoir nettoyé le sexe au robinet:
    
    — Ton sexe m’appartient à moi et Élodie.
    
    — Si un jour elle l’apprend, je te pourrirai la vie, tu perdras ton boulot et évidemment Élodie.
    
    Le ton sur lequel il m’a dit ça laissait supposer qu’elle ne rigolait pas. Bien évidemment j’ai fini ma tâche ménagère avant elle ce qui m’a permis de ranger mon sexe ...
    ... rapidement. Je me suis mis à donner un rapide coup d’éponge dans l’évier et retour car j’avais oublié de le faire mais pendant ce temps-là Geneviève m’a fait une surprise. Elle s’était débarrassée de sa culotte et était arrivée par-derrière pour me la donner à sentir, je ne contrôlais pas les événements en ce sens où je ne pouvais pas rouspéter mais en même temps j’étais un peu gêné de savourer cette odeur bien féminine qui se présentait sous mes narines et que j’aimais tant. Elle avait une assurance qui me déstabilisait complètement, c’est toujours elle qui était sur l’offensive ; je ne faisais que subir ses désirs.
    
    Manifestement elle savait qu’Élodie dormait d’un sommeil profond l’après-midi car elle faisait comme si nous n’étions que tous les deux dans l’appartement. Lorsqu’elle m’a pris par la main pour me faire agenouiller devant elle, Geneviève s’était calée contre le mur de la cuisine et avait levé la jambe gauche pour la déposer sur le plan de travail. Ainsi positionné à genoux, j’avais une vue magnifique sur son entrejambe, il aurait fallu être stupide pour ne pas comprendre ce qu’elle désirait. J’avais vraiment la trouille que ma chérie se lève à l’improviste et nous surprenne dans la cuisine pendant que je broutais le minou de sa mère. Geneviève était impassible et surtout impatiente que je vienne déposer des premiers baisers sur sa friandise. Bien évidemment après les baisers, c’est ma langue qui est entrée en action, pour lui faire le plus de bien possible. Je ...
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