1. Police polissonne (32)


    Datte: 20/11/2018, Catégories: Trash, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... et même si on le fait maintenant, tu ne l’auras pas tout de suite ; pour qu’il garde de la souplesse, il faut un temps de séchage assez long ; et donc il ne sera prêt qu’à partir de lundi. Alors, souhaites-tu en faire un ?
    
    — Oui, de mon avant-bras dans cette position, et de mon pied ; c’est possible ?
    
    Elle montre sa main bien droite et les doigts joints bien serrés en forme de cône. Puis elle déchausse son pied droit. La vendeuse reprend :
    
    — Humm..., c’est pour lui ?
    
    — Oui en souvenir de ces fêtes de fin d’année, tu pourrais me faire un paquet-cadeau ; enfin deux ?
    
    — Alors il va apprécier, car je sais qu’il aime ça aussi.
    
    — Pourquoi dis-tu ça ?
    
    — Ne lui dites rien, il n’y a pas longtemps ; il m’a confié connaître deux jeunes femmes qu’il entraîne à Sissonne et qu’il rêve de tomber dans leurs griffes, de jouer avec leurs pieds en se faisant fouetter ; je ne sais pas s’il n’est pas amoureux d’elles. Ce ne serait pas toi par hasard ?
    
    — Je ne sais pas, mais ce que tu me dis là est très instructif. Pour les moulages si on les fait aujourd’hui, je peux les récupérer lundi ?
    
    — Oui, ou mardi au plus tard, si tu veux ; mon copain va te les faire pendant que je vais m’occuper de ton ami.
    
    — C’est une très bonne idée. Et c’est lui que tu comptes embrocher ?
    
    — Oui, mais ne lui en parle pas. Donne-moi tout ça, je te les garde en caisse ; suis-moi, dit la vendeuse.
    
    Elle la précède, franchit une porte et entre dans une pièce où un jeune homme s’affaire ...
    ... sur un établi.
    
    — Chéri, tu peux faire deux moulages à Madame ?
    
    — Oui bien sûr, mais tu as prévenu qu’ils ne seront pas prêts aujourd’hui ?
    
    — Oui oui, j’ai annoncé pour mardi au plus tard ?
    
    — Parfait, entrez Madame, je suis à vous dans un instant ; juste le temps de terminer ceci.
    
    — Naturellement, mais que faites-vous ?
    
    — Je fabrique moi-même les bijoux intimes, à l’origine je suis bijoutier et l’idée m’est venue de les fabriquer suivant les souhaits des clients.
    
    — Et ça marche ?
    
    — Oui, je vends aussi sur catalogue et à l’étranger ; vous pouvez jeter un coup d’œil sur ceux-là si vous voulez ; on ne sait jamais...
    
    — Oui, c’est une bonne idée.
    
    Le temps que l’homme termine son ouvrage, elle regarde les boîtes en bois recouvertes d’une vitre ; tout en réfléchissant à ce que la vendeuse vient de lui raconter. Pendant le récit elle commençait à mouiller son string et le flux continu maintenant à humidifier son entrejambe. À l’intérieur des boîtes est disposé tout un tas de piercing de toutes sortes et pour tous les usages ; ils sont classés par catégorie, par motif et par taille. Dans l’une d’elles est marquée : « Prince Albert » s’y trouve des anneaux normalement réservés aux hommes et plus particulièrement à leur pénis. Au-dessus de la boîte, elle visualise la photo d’un phallus en érection au gland transpercé par un énorme anneau fermé par une bille. Un éclair traverse son esprit :
    
    « Quel beau cadeau pour mon esclave ! » pense-t-elle.
    
    — Dites, ...
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