Police polissonne (32)
Datte: 20/11/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
Dans le sex-shop, la plantureuse vendeuse les accueille avec un sourire commercial.
— Bonsoir Monsieur, Madame, je peux vous renseigner ou je vous laisse découvrir ?
— Bonsoir, Monsieur va faire un tour et moi je voudrais voir quelque chose ; n’est-ce pas mon chéri ?
— Oui, je regarde de mon côté ... dit-il en s’éloignant.
— En quoi puis-je vous aider ?
— Eh bien, je voudrais une tenue ou deux.
— Je vous montre ?
La vendeuse entraîne Sonia dans un coin de la boutique où sont exposés tout un tas de strings, soutien-gorge, gants, jupes en cuir, et autres accessoires féminins... En chemin elles passent devant le rayon des vibromasseurs, son regard est attiré par le moulage d’une main et d’un pied en latex. Juste à côté une pancarte indique :
« Faite réaliser le moulage de votre main, de votre pied ou même de votre sexe (uniquement pour les hommes) ; et vous passerez de bons moments. Possibilité de les équiper d’un vibreur. Pour tout renseignement, adresser vous à la caisse. »
— Voilà ce que je peux vous proposer, c’est pour des jeux de soumission ?
— Oui, je pense prendre ce modèle de soutien-gorge en lanières et sans bonnet, avec ce string en cuir, et aussi cette minijupe et le bustier ; ils sont en latex ?
— Oui, cela vous ira très bien car je vois que vous êtes musclée, vous êtes une sportive ?
— Oui, répond simplement Sonia pour ne pas s’étendre sur le sujet.
— Humm... Je suppose que vous préparez une belle soirée de soumission ; ...
... faites attention qu’il ne vous fasse pas trop mal.
— N’ayez crainte, le soumis ; c’est lui.
— Cool, alors fouettez-le ; je sais qu’il aime la violence.
— Vous le connaissez ?
— Un peu, il vient souvent visionner des films de soumission et de podophilie, vous savez ceux qui sont fétichistes du pied ; c’est certain qu’il aime ça. Je sais qu’il a aussi acheté des DVD très ..., très bizarres ...
— Ah oui, et sur quel sujet ?
— Excusez-moi, je n’aurais pas dû vous dire ça...
— Trop tard, maintenant que vous avez commencé ; continuez, histoire de me donner des idées. Sait-on jamais.
— Je ne sais pas comment vous dire ça, car il s’agit de choses très spéciales ; c’est assez proche de la torture.
La curiosité de Sonia s’aiguise de plus en plus, et maintenant que la vendeuse a lâché une partie des fantasmes du sergent ; elle insiste pour en savoir encore plus.
— Alors, vous me le dites ?
— D’accord, mais promettez-moi de ne pas lui en parler.
— Promis, alors ?
— Je ne sais pas s’il pratique ce qu’il visionne, car il n’a jamais rien acheté qui correspond. Bon, alors voilà : ce sont des DVD qui parlent de donjon et d’hommes qui se font maltraiter par des femmes, et quand je dis maltraiter ; le mot est faible.
— À ce point ?
— Oui j’en ai regardé un, un jour par curiosité. C’était l’histoire d’un mec blanc, qui se faisait transpercer le sexe et les testicules avec des aiguilles.
— Ah oui ! Mais ça doit être hyperhard, raconte-moi ça.
— Si tu ...