1. Virginie


    Datte: 20/11/2018, Catégories: ff, fbi, jeunes, extracon, voisins, grosseins, dispute, intermast, Oral init, Humour initff, Auteur: Skratsch, Source: Revebebe

    ... tout en continuant mes pérégrinations. Je sentis ses pieds se poser sur mon dos, exerçant une forte pression qui reflétait le plaisir qu’elle semblait éprouver. Je tombai soudain sur son clitoris tendu par l’excitation et luisant de son jus intime et déposai mes lèvres dessus pour me mettre à le téter. Je l’aspirai dans ma bouche et dardai ma langue pour le titiller. La pression des pieds de Virginie sur mes côtes augmenta, ce qui me poussa à intensifier mes coups de langues. La cyprine se mélangeait à ma salive, dans ma bouche, et je pris la résolution de boire ma compagne jusqu’à la dernière goutte.
    
    Je sentis soudain son corps se raidir et elle poussa un long gémissement plaintif. Elle se retira brusquement de ma bouche et recula pour prendre son souffle. Je la regardai un moment, attendrie. Elle déclara soudain, la respiration hachée :
    
    — Espèce de cochonne… T’as même pas… enlevé tes godasses… avant de monter… sur ma banquette.
    
    Je baissai le regard et m’aperçut qu’elle disait vrai. En fait, j’étais toujours habillée alors qu’elle-même ne portait que son fameux pull rouge, avec probablement rien en dessous maintenant qu’elle avait enlevé sa culotte. Je retirais donc rapidement mes chaussures, mes chaussettes, et je venais de retirer mon jean, lorsque quelque chose passa devant mes yeux et me cacha la vue. J’entendis des éclats de rire joyeux près de mon oreille.
    
    Ma tête émergea rapidement et je me rendis soudain compte non seulement que je portais à présent le ...
    ... pull de Virginie, mais qu’en plus je n’étais pas seule dedans. Le vêtement était assez grand pour nous contenir toutes deux entières et nos deux têtes passaient par le col. Le propriétaire d’origine de ce pull devait être un géant.
    
    Mes pensées furent coupées lorsqu’un petit corps chaud et nu vint se frotter au mien. Je sentis sa poitrine se frotter contre mon dos à travers le tissu de mon tee-shirt et son souffle sur mon cou avant qu’elle ne pose ses lèvres à l’arrière de ma mâchoire. Virginie partit d’un autre éclat de rire qui me contamina. Je tentais de me tourner vers elle, mais elle croisa ses jambes autour de ma taille et se colla davantage à moi, ce qui m’empêcha de bouger.
    
    — Ne sois pas pressée, ma jolie, susurra-t-elle à mon oreille. Maintenant, c’est moi qui mène la danse.
    
    Je sentis qu’elle se contorsionnait dans mon dos et compris qu’elle avait retiré ses bras des manches lorsqu’une main passa le col pour venir me caresser la joue et retirer des mèches de cheveux collées à mon front par la sueur et à mes joues par les larmes. Puis elle redescendit dans le pull et je sentis soudain ses deux mains sur mes hanches.
    
    — Mm… fit Virginie sur un ton appréciateur. Intéressant.
    
    Je voulus lui demander de quoi elle parlait, mais déjà ses mains avaient quitté mes hanches et saisi l’élastique de mon string par les deux côtés.
    
    — Très intéressant, répéta-t-elle.
    — Quoi donc ?
    — Jeune fille, vous avez un grave problème, dit-elle d’un ton très sérieux.
    — Et quel ...
«12...121314...»