Virginie
Datte: 20/11/2018,
Catégories:
ff,
fbi,
jeunes,
extracon,
voisins,
grosseins,
dispute,
intermast,
Oral
init,
Humour
initff,
Auteur: Skratsch, Source: Revebebe
... faire.
— Tu n’as pas à t’excuser, tu sais. Tout ce que j’aurais pu te reprocher je te l’ai déjà pardonné. Et pour ta présence chez moi, c’est moi qui t’ai demandé de venir, et j’aurais été bien plus vexée que tu refuses.
— Virginie, tu es merveilleuse.
— Je sais, répondit-elle en tentant de sourire sans grande conviction. Je suis la bonne fée qui répare les cœurs brisés.
— Je suis sérieuse, tu es vraiment merveilleuse.
Elle se fige soudain et me regarde d’un air surpris.
— Tu es toujours gentille avec tout le monde et tu es quelqu’un sur qui on peut compter. Et puis aussi…
Je me rapproche légèrement d’elle.
— Euh… oui ?
— Tu es si belle…
Nos visages se frôlent.
— Euh… Mel… ?
Je ne lui ai pas laissé le temps de continuer. Nos lèvres se sont rencontrées un court instant, puis séparées. Nos regards se sont rencontrés pendant une seconde qui sembla une éternité. Chacune eut le temps de lire dans les yeux de l’autre du désir, de la surprise, de l’inquiétude, des questions et des réponses. Une proposition dans mon regard. Un accord dans le sien. Puis nous avons décidé de laisser nos esprits fatigués se reposer et nos corps impatients continuer.
Nos lèvres se sont retrouvées, nos langues ont suivi. Toute la passion qui nous animait explosa dans ce baiser, et je sentis ma bouche s’enflammer dans un ballet désordonné mais ô combien savouré. Nos mains ont commencé à s’activer, caressant et pressant nos visages rougis d’excitation. Puis elles descendirent ...
... dans nos cous, sur nos épaules, et commencèrent à danser sur nos corps, par-dessus nos vêtements, escaladant les collines formées par nos poitrines, descendant dans les vallées de nos ventres puis remontant sur les monts de nos hanches. Je me mis à quatre pattes sur la banquette et entrepris d’embrasser Virginie dans le cou, ce qui sembla provoquer chez elle un plaisir intense. Elle s’assit face à moi, rompant momentanément le contact, et retira rapidement sa culotte qu’elle envoya voler à travers la pièce. Entre ses cuisses m’apparut le fruit défendu, recouvert d’une fine toison blonde et bouclée. Je me jetai comme une chienne en chaleur sur ce sexe offert et entrepris de dévorer avidement ma compagne.
La sensation de cette chair sous ma langue me surprit d’abord, et je m’amusais à penser que j’avais définitivement passé un point de non-retour. Et c’était exquis. Je me mis à laper frénétiquement, tendant ma langue au maximum comme pour atteindre les recoins les plus reculés de cette grotte d’amour, alternant parfois mes explorations par des baisers rapides déposés sur ces lèvres jusqu’alors inconnues, remontant parfois vers sa toison d’or où une sensation râpeuse sous ma langue changeait de la douceur de sa chair de fille. Dans ma bouche se répandait le goût exquis de l’interdit transgressé. Malgré mon inexpérience, mon amante se tortillait et haletait de plaisir, m’encourageant à aller encore plus loin. J’enroulais mes bras autour de ses cuisses et soulevait son bassin ...