Le massage
Datte: 19/11/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
massage,
fsodo,
init,
confession,
Auteur: XXC, Source: Revebebe
... massage, puis du bas du dos je finis par dériver sur ses fesses. À ce moment, je pensais uniquement au plaisir que cela pouvait provoquer chez elle, même si ce n’était pas pour me déplaire non plus. Mes mains se faisaient plus douces pour englober chaque côté. Puis alternant droite et gauche, je plaçais un pouce à la limite entre le haut de la cuisse et la fesse, le reste des doigts malaxant la fesse concernée. Je savais comme cela pouvait être agréable.
Et puis, a posteriori, ce dût être ce qui changea tout. À pleines mains, je descendis sur son coccyx, chaque main agrippa une fesse pour les écarter et les refermer ensuite. Un mouvement rapide, intuitif, sans aucune arrière pensée.
Mais au passage je découvris une fois de plus le « petit trou » de Julie. La peau un peu sombre au centre, qui tranchait avec sa pâleur ailleurs. Les plis de la peau qui convergeaient vers ce délicat orrifice. Quelques poils qui rejoignaient ce sexe et ses grandes lèvres que je commençais à bien connaître. Je ne pus retenir l’accélération de mon cœur et l’envie d’en voir plus.
Julie était sûrement endormie ou en tout cas trop détendue pour réagir. J’en profitai pour en voir, en apprendre, en savoir plus entre ses fesses. Je me disais que je ne faisais rien de mal, je me concentrais toujours sur son plaisir, sa détente, mes mains chaudes enduites d’huile sur sa peau.
Mais petit à petit, les mêmes gestes se répétaient. Mes mains écartaient de plus en plus souvent ses fesses, la tranche ...
... d’une main restant sur sa fente pour mieux malaxer de l’autre une fesse, par exemple. Ou pour alterner, une main sur chaque fesse, les mouvements d’écartement et de compression des globes soyeux. Bref, je commençais à en profiter. Je découvrais beaucoup, n’ayant guère d’expérience de ce côté-là. J’étais agréablement surpris par la propreté de son entre-fesse, l’absence d’odeur. Ou alors j’en étais suffisamment loin ! Car même si comme beaucoup de jeunes hommes, j’étais très attiré par ce petit trou mystérieux, mon expérience était proche du zéro, à l’exclusion du porno que je savais artificiel.
Mais tout en profitant, je ne voulais pas brusquer mademoiselle, peut-être endormie, et j’étais très attentif à tout signe négatif de sa part face à mes actions presque entreprenantes.
Mais rien, aucune réaction… je la pensais endormie complètement. Je poussai alors mon exploration. D’une main j’écartais ses fesses alors que de l’autre je caressais doucement les parois sombres du sillon secret, assez fort pour que le geste ne puisse pas être pris pour une chatouille. Puis, à force, je me rapprochai tout en caresses du trou du cul de ma princesse. Mon érection était bien sûr toujours là, mais mon excitation était contrôlée, j’étais presque dans la recherche et la découverte scientifique ! Puis, suite à un geste trop doux – ou pas assez, je ne le sus jamais – elle eut un réflexe de contraction des sphincters. Je déplaçai immédiatement mes deux mains et revins à des caresses douces ...