Le massage
Datte: 19/11/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
massage,
fsodo,
init,
confession,
Auteur: XXC, Source: Revebebe
Je sortais avec Julie depuis presque un an. Tout allait bien entre nous, sur tous les plans. Je passe sur les petits différents passagers, mais nous pouvions parler de tout entre nous, chacun était très ouvert, et même si nous n’étions pas d’accord sur tout, nous nous écoutions, débattions. Cela nous donnait en particulier une vie sexuelle épanouie, les quelques ratés étant discutés ensuite, nous apprenions chacun à construire notre sexualité dans notre jeune vingtaine, et surtout à la construire ensemble.
Ce jour-là était l’un des premiers où l’on se sentait en été, le tennis de Roland-Garros allait commencer, il faisait chaud. Un jour de semaine – mais nous étions tous les deux en vacances ou de repos – où nous étions comme souvent allongés sur le lit non défait, à discuter de tout et de rien, de sujets plus ou moins sérieux. Les volets étaient entrebâillés, la fenêtre fermée, mais tous nos efforts pour garder la chaleur à l’extérieur avaient leurs limites. Cependant la pénombre, la chaleur, l’humidité donnaient à la petite chambre une ambiance propice aux confidences. Et tout d’un coup, entre deux broutilles complices, ma Julie se redressa :
— Au fait, tu ne me devais pas un massage toi ?
— …
Je sortais mon demi-sourire que nous le connaissions tous les deux, regardant le plafond. Je ne comptais plus les paris de massage perdus puis repoussés, l’ambiance était propice, et j’étais prêt à accorder ce moment de détente à mademoiselle.
Comprenant que ...
... j’acceptais, ma Julie me vira du lit rapidement et en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire, elle était sur le lit, allongée sur le ventre, vêtue uniquement de sa culotte. Pendant ce temps, j’étais occupé à me mettre à l’aise, moi aussi, ne gardant pour le bas que mon boxer, car le jean n’était pas adapté à la position accroupie que j’allais adopter. Et vu la chaleur déjà présente, je me mis torse nu et attrapai l’huile de massage dans le tiroir.
En me retournant, je ne pus retenir un temps d’arrêt devant cette vue : mon amoureuse étendue de tout son long, sur le ventre, les bras au-dessus de la tête, ses longs cheveux auburn ondulés que j’adorais repoussés sur un côté de la tête, placés de manière à me dégager au mieux ses épaules. La pénombre donnait une ambiance de noir et blanc à la scène, et lorsque je me plaçai à califourchon sur ses cuisses, j’en profitai pour admirer sa peau pâle de presque rousse, que faisait encore ressortir sa culotte simple de coton noir.
Je fis couler un peu d’huile le long de son dos, du haut vers le bas… en été, la fraîcheur du liquide était appréciable. Je refermai le flacon rapidement, quelques mouchoirs étaient sortis pour ne pas en mettre partout, et je me mis à la tâche.
Ce n’était pas le premier massage que j’effectuais, je m’améliorais de plus en plus, j’opérais maintenant sans conseils directs de sa part, à ma grande fierté ! Tout en finissant ses épaules, je descendais tantôt doucement le long de sa colonne vertébrale, admirant ...