1. Police polissonne (62)


    Datte: 19/11/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... bourrin pour jouir... »Bien on ne va pas tarder, je vais prendre mon sac dans la chambre, demande des casse-dalle pour la route pendant ce temps.
    
    Elle grimpe dans la chambre pour récupérer ses affaires et redescend. À la réception, Mike récupère les sandwichs, paie la note puis ils sortent pour récupérer la voiture qui les attend dans un garage bien gardé à dix minutes à pied. Dans la rue, pas un bruit, pas une voiture, pas un passant ; tout est calme, seul le clapot des vagues toutes proches trouble le silence. Après une marche rapide, promenade de santé pour Sonia, mais véritable calvaire pour son coéquipier qui ne s’est sans doute pas remis de sa partie de baise de la veille, il sonne à la porte métallique ; une lueur apparaît. La lourde porte métallique coulisse sur son rail en grinçant, l’Audi apparaît ; un homme se présente.
    
    — Bonjour, nous venons chercher la voiture, dit-il en la désignant du doigt.
    
    — Hola Mike, puedes tomar el auto, está completamente caraco.(Salut Mike, vous pouvez prendre la voiture, elle est complètement chargée.)
    
    –– Gracias y buen día, conclue Mike. Allez Sonia en route.
    
    Ils s’installent et prennent aussitôt la route. Déjà cinq heures qu’ils roulent, grâce à la faible circulation et au rythme infernal mené par Sonia, ils ne sont qu’à une centaine de kilomètres de Barcelone. Sonia informe Mike de la nécessité de faire le plein, à la première station elle s’arrête ; le pompiste s’approche. Eh oui, en Espagne on vous sert !
    
    — ...
    ... Sonia, je n’aime pas ça ; il risque de poser des questions.
    
    — T’inquiète... J’ai des arguments pour le distraire, dit-elle en descendant la fermeture de sa veste de jogging.
    
    — Ah, je vois...
    
    Le pompiste s’approche de la voiture, Sonia est déjà dehors pour l’accueillir
    
    — Hola completo por favori, dit Mike. (Bonjour, le plein s’il vous plaît)
    
    — Si sénior.
    
    L’homme plonge le pistolet dans l’orifice du réservoir et dit à Sonia :
    
    — Humm, eres bonita, señorita ! dit l’homme en plongeant son regard dans l’ouverture de la veste.
    
    — Humm... Tu aimes mater les filles, tu veux toucher ?
    
    — No comprendo !
    
    — C’est ça, dit-elle en prenant la main de l’homme.
    
    Il se laisse guider et elle le force à lui prendre un sein à pleine main, l’homme bave de désir et Sonia s’en aperçoit ; les litres d’essence défilent. Maintenant, elle reprend la main devenue baladeuse et la passe par la ceinture de son bas de jogging, elle sent immédiatement les doigts de l’homme fouiller son entrejambe et atteindre sa fente. Cette séance imprévue met Sonia dans tous ses états, alors elle ouvre la braguette du pantalon du pompiste, sort la bite espagnole bandée à mort, l’engloutit dans la bouche et la pompe ; l’homme gémit et les litres continuent à se déverser dans le réservoir. Au bruit, Sonia sait que le réservoir est presque plein, alors elle prend la bite en main et la branle avec force, le réservoir est plein, le pistolet claque ; le pompiste éjacule par grandes saccades. Mémoire de ...
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