1. Bazouk


    Datte: 18/11/2018, Catégories: ffh, inconnu, grosseins, fsoumise, Oral pénétratio, Humour fantastiq, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... sévissait dans mon armoire.
    
    — Euh… dis, Bazouk ? Tu veux bien aller répéter dans la salle de bains, à côté ?
    
    Il émit une sorte de grommellement mais obtempéra une fois encore. Je relevai les yeux vers la jeune femme :
    
    — Azura, très chère, je veux bien un massage des épaules et du dos…
    — Bien sûr, mon bon maître.
    
    Bon, fallait pas trop déconner, quand même :
    
    — Euh… disons que tu peux m’appeler simplement Gufti… Ou à la rigueur, si vraiment tu y tiens, tu peux dire : mon Gufti adoré…
    — Bien, mon Gufti adoré. Enlève ce vêtement et allonge-toi.
    
    J’arrachai presque mon tee-shirt, puis repoussai vivement la couette et virai les oreillers pour m’allonger à plat ventre sur mon lit. Je bandais comme rarement avant. Mais pas de précipitation… Je m’étendis, calmement, les bras en croix, sans plus bouger, attendant simplement les mains d’Azura.
    
    La jeune femme, toujours assise à mes côtés, me caressa un instant le dos du bout des doigts, presque distraitement, mais m’arrachant quelques agréables tressaillements. Puis elle se pencha vers moi, venant appuyer savamment sa poitrine lourde et ferme sur mon épaule et mon bras pour venir me murmurer :
    
    — Je vais m’occuper de toi, mon Gufti adoré…
    
    Sa voix s’était faite douce, ensorcelante. Bazouk s’était chié dessus niveau caractère, mais il avait grave assuré tout le reste, sensualité y compris. Et tandis que je me demandais si j’avais déjà bandé aussi fort, Azura se redressa et m’enjamba rapidement pour venir ...
    ... s’agenouiller au-dessus de mes fesses ; ses mains douces et chaudes se posèrent sur mes épaules et elle entreprit un lent massage lascif et langoureux. Elle parvenait à faire vibrer mon corps sous ses caresses fermes et souples à la fois. Et tout en me massant le dos, elle serrait ses jambes contre mes hanches et s’asseyait parfois sur le haut de mes cuisses, frottant ensuite son pubis contre mes fesses.
    
    Me sortant de ma douce torpeur, un puissant caquètement s’éleva de la salle de bains voisine, suivi d’une sorte d’imprécation. Je ne pus m’empêcher d’éclater de rire. Je me retournai entre les cuisses de la douce Azura pour me mettre sur le dos. La somptueuse jeune femme me sourit une fois encore et se rassit sur mon bassin, mon sexe bandé à bloc coincé contre son entrejambe. Elle se déhancha quelque peu d’avant en arrière, me branlant sous ses fesses et m’arrachant quelques gémissements. Puis elle se recula vers mes jambes, me retirant doucement mon caleçon. Ma queue tendue apparut sous ses yeux toujours vifs et coquins. Quand elle m’eut entièrement déshabillé, elle s’appuya sur ses coudes et approcha son visage de mon bassin pour contempler un instant ma verge de près, passant doucement sa langue sur ses lèvres. Je la laissai faire, savourant son regard avide.
    
    Elle se saisit finalement de mon sexe qu’elle fit tourner et osciller plusieurs fois sous son visage, faisant en sorte que mon gland vienne tout juste effleurer ses lèvres. J’étais excité comme jamais ; je mourais ...
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