Le parking - Histoires de Sexe

Le parking

... C’est bon, hein !
— Oui ! Oui !
— Attends !

Il se lève, me soulevant comme une plume. En quelques secondes, je me retrouve allongée, les jambes levées, ouverte dans un V que des mains puissantes m’imposent et une bite qui me remplit à nouveau.

Il me possède. Le verbe n’est pas banal. Dans son cas, il est approprié. Je suis sa chose. Petite chose toute à sa main, toute à son plaisir, s’ouvrant le plus possible, se cambrant le plus possible, se caressant les seins dans une impudeur totale, grimaçant sous ses avancées, gémissant sous le plaisir, osant des « Oui. Oui… » de femelle en rut.

Femelle qu’il déplace, qu’il guide pour la mettre à quatre pattes et la reprendre. Pas pour longtemps, car je sens qu’il enlève le plug. Quelques secondes où rien ne se passe. Mais c’est un esthète, il sait regarder, apprécier. Je l’ai déjà vue, cette façon qu’à l’anus de rester un moment ouvert alors que plus rien ne l’occupe, qui semble regretter et demander qu’on le prenne à nouveau et alors seulement, déçu, il commence à se refermer.

Prise par le cul. La totale. Il me laboure les entrailles. Salope jusqu’au bout, je me caresse les seins et les petits boutons maintenant en appui sur la tête, cambrée comme une pute.

Il jouit. Je le sens par ses petites secousses. Je ne sens pas son foutre m’inonder. Quel dommage. J’aurais pu comparer…

Chut. Salope ! Traînée ! Femme infidèle ! Non, pas femme infidèle, mais femme obéissante !

Nous reprenons notre souffle.

— Je peux te ...

... demander un service ?
— Bien sûr.
— Lorsque tu vas raconter ce qui s’est passé à mon mari, tu veux bien lui dire que je n’ai pas cédé tout de suite à tes avances. Que j’ai refusé au début, et qu’il a fallu que tu insistes, en disant que c’était ce qu’il voulait, et qu’alors seulement j’ai accepté. Après si tu veux, tu peux lui dire que je me suis révélée très réceptive… pour qu’il puisse envisager une suite !
— Je suis désolé, je ne peux pas lui dire ça.
— Mais pourquoi ?
— Parce que c’est faux. Tu as vraiment pensé que j’étais venu dans le but que nous couchions ensemble, et tout cela, organisé par ton mari ?
— Mais bien sûr. Il t’a même demandé de tout te raconter.

Un silence et Marc demande :

— Il a bien laissé une enveloppe pour moi ?
— Oui, dans l’entrée. J’imagine que c’était pour justifier ta venue.
— Tu veux bien aller la chercher ?
— Mais ?
— Ne bouge pas. J’y vais.

Marc se lève. Je ne peux m’empêcher de regarder cet homme qui vient de me faire jouir, profitant de la vision de son sexe qui pend, alangui et pourtant encore viril et ses fesses musclées que j’ai encore envie de caresser.

Une minute et il revient. Il tient une enveloppe à la main, une enveloppe demi-A4, une enveloppe qu’il me tend en disant :

— Ouvre-la !

J’ouvre. Je la renverse sur le lit.

Stupeur. Lorsque je retrouve un semblant de voix, je ne peux que dire :

— C’est quoi ? Une blague ?

Marc s’approche, passe sa main sur mon épaule comme pour me rassurer.

— Non ce ...