1. Le parking


    Datte: 18/11/2018, Catégories: fh, couple, inconnu, parking, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, jouet, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... perversité de l’objet. Je ne sais si c’est à dessein, mais Marc a dû choisir le plus petit. Pourtant il me comble déjà. Je me sens différente.
    
    J’ai à peine le temps de profiter de ce plaisir que l’homme passe les bras dessous les miens pour amener ses mains sur ma nuque et sur ma tête.
    
    Fini la sucette tranquille. Fini la femme qui déguste, faisant de son mieux. L’homme me transforme en pute, me forçant à tout gober alors que sous la poussée, je sens le gland ramper contre mon palais, s’infléchir pour aller plus loin et mes lèvres buter contre les couilles. L’autre nuit, j’avais remarqué que déjà il faisait un peu la même chose à cette Lise, la forçant à le gober au mieux. Mais c’était une autre, pas moi ! Quelques secondes de ce traitement et je ne me reconnais plus dans le miroir. Oui, le miroir que je ne peux m’empêcher de regarder, voyeuse de ma propre dépravation. J’ai du mal à me reconnaître. Luisante de sueur, les yeux pleurant, des traînées de salive qui suintent de mes lèvres et tirent des films infâmes entre la bite et moi lorsqu’il me laisse reprendre ma respiration.
    
    Mais pourquoi je ne proteste pas ?
    
    Pourquoi je me laisse manipuler ainsi, laissant cet homme utiliser ma gorge comme un orifice où il se branle ?
    
    Oui pourquoi ? Par ce que d’une certaine façon je veux faire honneur à mon mari ?
    
    Ou bien pour me venger de m’avoir « offerte » sans même m’en parler. Oh oui, mon mari, que vas-tu dire lorsque Marc te dira que ta femme est une fieffée ...
    ... salope qui sait faire des pipes profondes ?
    
    Ou encore, par fierté et montrer à cet homme, qui manifestement a eu beaucoup de femmes, que je peux moi aussi trôner dans son panthéon du sexe ?
    
    — Tiens, mets la capote.
    
    La pression sur ma tête se relâche. Une capote apparaît comme par miracle. Un homme comme lui doit toujours avoir ce genre de choses sur lui.
    
    C’est comme le vélo, cela ne s’oublie pas. Il y a une éternité que je n’ai pas recouvert une bite avec une enveloppe, mais la dérouler est un avant-goût de ce qu’elle implique.
    
    — Viens sur moi.
    
    Oh, mais avec plaisir, pensé-je en me redressant pour venir l’enjamber. Je dois avoir une tête affreuse. Mon Dieu ! C’est moi dans la glace ?
    
    Eh oui, c’est bien moi.
    
    Moi qui maintiens la bite bien droite et me place à la verticale.
    
    Moi qui fléchis les genoux.
    
    Moi qui sens que le gland trouve ma fente.
    
    Moi qui relâche la queue, maintenant prisonnière.
    
    Moi qui ferme les yeux comme toujours dans ces moments où je fais durer le plaisir, ne me possédant que lentement, lentement pour bien sentir le membre me dilater. Et il me dilate, ce beau bâton. Le plug ne fait pas de concession. Marc doit le sentir qui se frotte à sa queue. Mais je suis grasse de sa salive et de me jouissance et le mandrin me remplit délicieusement.
    
    Je suis assise, et j’ondule autour de ce pieu de chair pour encore mieux le sentir.
    
    C’est bon. Divin. J’ouvre les yeux et découvre mon amant qui regarde un large sourire aux lèvres.
    
    — ...