La vie de Coline (4)
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: pulzer, Source: Xstory
... ce que j’ai oublié, mon string…
Marc est là, ravissant un pantalon noir, une chemise blanche et une veste bleue roy. Il m’embrasse sur les lèvres avant de m’offrir son bras et de me guider vers la sortie de l’immeuble. En marchant, il me glisse à l’oreille :
— Tu es ravissante ce soir, quelle chance j’ai d’avoir une copine aussi belle que toi.
Sous le compliment, je rougis comme une collégienne. Il m’intimide et ça me rend toute chose.
Il ouvre la porte donnant sur la rue, puis celle du taxi pour m’y faire monter, avant de faire le tour et de monter lui aussi. Le ton est donné, ce soir, il ne conduit pas. Nous roulons un moment en silence, jouant avec nos doigts sur la banquette. Quand nous arrivons devant le restaurant, il descend et vient me tenir la porte, puis me prenant par le bras m’escorte jusqu’à la porte du restaurant où un portier attend pour nous faire entrer.
Je vous passe le repas, excellent et bien arrosé, mais tellement agréable.
À la fin du repas, au moment du dessert, Marc sort un écrin de sa poche et l’ouvre en me regardant et me dit :
— Coline, ça fait des semaines que je n’ose pas le faire, mais ce soir, je me lance ! Coline, veux-tu m’épouser ?
Je le regarde, j’ai envie de pleurer de joie.
— Oui, oui, je te veux pour mari, lui réponds-je.
Il prend ma main et glisse la bague à mon annulaire avant de m’embrasser. Arrivent alors le garçon avec une bouteille de champagne et son cousin avec trois flûtes pour trinquer avec ...
... nous.
— Aux fiancés, lance-t-il.
Toute la salle applaudit notre bonheur.
Nous finissons le repas en discutant avec le cousin de Marc, ils semblent très proches et c’est visiblement lui qui a incité Marc à venir manger ici pour me demander en mariage.
Marc le queutard de la brigade des motards de la police et Coline, la rouquine chaudasse des urgences qui se rangent du sexe débridé. Ça va en faire jaser et jalouser beaucoup.
Et le pire, c’est que nous n’avons jamais couché ensemble encore. Mais ce soir, ça va changer.
Dans le taxi qui nous ramène, il m’attire vers lui et m’embrasse avec fougue en passant sa main sur mes cuisses. Une fois arrivés, nous sortons rapidement de la voiture et rentrons chez lui, il habite un pavillon. Dans l’entrée, il m’enlace et m’embrasse encore, baiser auquel je réponds encore avec plaisir. Il passe sa main sous ma robe et découvre ce que j’ai oublié. Il me dit alors :
— Alors, ma coquine, on s’encanaille, on oublie les atours de fille sage ?
Disant cela, il passe sa main sur mon sexe nu qui commence à s’ouvrir et à suinter.
— C’est pour mieux vous charmer, monsieur l’agent, lui dis-je en passant ma main sur son sexe qui commence à faire une belle bosse sous son pantalon.
Nous allons petit à petit vers sa chambre, pendant qu’il ouvre ma robe et la fait tomber par terre. Moi je lui retire sa veste et arrache quelques boutons en lui enlevant sa chemise. Depuis le temps que j’attends cet instant, je ne vais pas le laisser ...