1. Alice, une émotion certaine


    Datte: 18/11/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, extraoffre, copains, boitenuit, danser, volupté, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Sweetsoline, Source: Revebebe

    ... ses fesses bien ouvertes. Je déboutonne mon pantalon et pose mes mains sur ses hanches. Mon gland luisant vient se coller contre la rondelle moelleuse, et sans forcer disparaît entre ses chairs secrètes. La demoiselle a le cul comme une motte de beurre. Disponible, devant, derrière, sans a priori… Juste avec l’envie de se faire prendre, autant que cela est possible… Et elle prend, sacrée Alice… Une bonne copine que je croyais bien connaître, et qui est juste en train de se faire partouzer sur le skaï lisse d’une banquette de boîte de nuit…
    
    Une fois introduit dans les profondeurs de son cul, je reste fiché en elle. Sans bouger, je tente de contenir le trop plein de vigueur qui m’assaille. Puis j’entreprends de lents mouvements d’acclimatation. Mais peu à peu, c’est elle qui donne la cadence, afin d’assurer une meilleure coordination des sensations dans ses diverses anatomies… Du haut de mon nuage, je regarde mon sexe aller et venir en elle. Mes pensées se télescopent, les images se fondent. Son dos interminable, le creux de ses épaules, le flot de ses cheveux… Et encore et toujours son cul, ses seins, sa chatte… Son image charnelle, brûlante et pénétrée.
    
    Assez rapidement, ça devient incontrôlable. La musique ne parvient plus vraiment à couvrir son émoi. Fred s’abandonne le premier, et je le suis de près. Dans le feu de l’action, je me retire. Les dernières saccades giclent ...
    ... sur ses fesses alors que l’anneau de chair se referme lentement. À son tour, elle se libère de son homme et de longues traînées de sperme chaud s’écoulent le long de ses cuisses. Je sors un kleenex et l’essuie délicatement. Elle agrafe son soutien-gorge, rajuste à la hâte sa jupe et son chemisier, puis fait glisser son slip souillé le long de ses jambes. D’un geste rapide, elle le ramasse et le fourre en boule dans son sac. Puis elle se lève et se dirige vers les toilettes. La boîte est maintenant vide excepté nous et le barman. Elle évite soigneusement de croiser son regard.
    
    En l’attendant nous nous asseyons sur le canapé avec Fred. Non sans malice, je lui demande :
    
    — Tu crois qu’elle a aimé ?
    
    Après un instant de silence, il me répond d’un air pensif :
    
    — Je sais pas combien de fois elle a joui, mais je peux te dire qu’on lisait dans ses yeux… une émotion certaine.
    
    Elle sort des toilettes. Nous la rejoignions à la sortie. Le barman, le sourire jusqu’aux oreilles, nous souhaite une bonne fin de soirée. Nous nous retrouvons sur le trottoir, les yeux hagards. Le jour se lève. Avant de nous séparer, je l’embrasse une dernière fois dans le cou et lui glisse à l’oreille :
    
    — Tu es vraiment délicieuse…
    
    Elle me sourit en rougissant, puis s’éloigne au bras de Fred. Je pars rejoindre ma voiture garée un peu plus loin. Je démarre sans allumer la radio… Une émotion certaine… 
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