1. Alice, une émotion certaine


    Datte: 18/11/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, extraoffre, copains, boitenuit, danser, volupté, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Sweetsoline, Source: Revebebe

    ... ventre brûlant, le nombril. Pas de réaction. J’ai une envie folle de lui caresser les seins. Reste à trouver une idée pour accéder en toute discrétion à une partie aussi en vue de son anatomie. Et là je cale un peu. Alors tant pis. Tandis que je garde une main collée à son ventre, l’autre entreprend une lente et délicieuse ascension vers la chaleur des nichons. À peine ai-je effleuré la dentelle gonflée de son soutien-gorge, qu’elle se retourne brusquement. La récréation s’arrête net.
    
    — Eh ! Faut plus se gêner surtout !
    — Excuse, je voulais pas…
    — Tu voulais pas quoi ? On peut rigoler mais y’a des limites. Tu me prends pour qui ?
    
    Je reste sans voix. Heureusement Fred, un peu déconcerté par cette intervention, tente de calmer le jeu :
    
    — Allez, t’énerve pas… Y’a pas de quoi se vexer…
    — Ben ça va, j’suis pas une pute !
    — C’est pas la question d’être une pute. Tu cherches depuis tout à l’heure, alors forcément tu finis par trouver. C’est pas grave, tu sais, j’suis pas jaloux. J’aime bien quand tu fais la chaude comme ça. Et puis c’est pas ton phantasme, deux hommes rien que pour toi ?
    — Ben ça va, c’est pas nécessaire que tout le monde le sache… répond-elle rouge écarlate.
    
    Fred se penche alors sur son épaule et lui chuchote un truc à l’oreille en lui mettant une main aux fesses. Puis il la prend par la main et l’entraîne sans prévenir à l’écart de la piste. Elle semble un instant résister, puis lui emboîte finalement le pas. Perplexe, j’hésite à les suivre. Mais ...
    ... le regard étrange qu’elle me lance en s’éloignant m’incite à en savoir plus. Arrivés dans un recoin sombre, à l’abri des regards, nous nous asseyons tous les trois sur la banquette installée là. Je jette un œil aux alentours. La salle s’est quelque peu vidée et le DJ passe des vieux airs américains des années trente. J’attends que quelqu’un lance la discussion. Pas longtemps. Fred attaque d’une voix un peu éméchée :
    
    — Allez, chérie, montre-nous tes nibards… S’il te plaît… Tu sais bien qu’on a très envie de les voir… Allez, ici personne nous voit.
    
    Comme seule réponse, Alice ferme les yeux et laisse retomber sa tête en arrière. Très rapidement, Fred laisse courir sa main sur les boutons du chemisier blanc, et les détache un à un. Le tissu s’écarte sur une vision de rêve. Sans attendre, des mains se glissent dans l’ouverture. La dentelle du sous-tif gonflé défile sous nos doigts rapides. C’est ample, généreux, d’une fermeté qui incite à des caresses de plus en plus soutenues. Elle s’y abandonne totalement et se laisse palper les nichons sans retenue. Et progressivement, c’est entre les seins que nos mains se dirigent, comme attirées par la profondeur évocatrice du lieu et la douceur de la peau nue. Bientôt des doigts cherchent à s’immiscer sous la dentelle des bonnets. Malgré leurs dimensions très généreuses, ils n’ont pas été conçus pour de telles fantaisies et se mettent à déborder dangereusement. Alice se passe alors la main dans le dos et d’un geste rapide et sûr fait ...
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