Beauté disgracieuse
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
inconnu,
Collègues / Travail
prost,
boitenuit,
telnet,
revede,
miroir,
strip,
photofilm,
BDSM / Fétichisme
Transexuels
nopéné,
nonéro,
exercice,
confession,
Humour
sf,
tarifé,
internet,
Auteur: Collectif Antilogies, Source: Revebebe
... de beuverie proposèrent alors de booker la mignonne. D’après eux, s’enfoncer à quatre dans ses protovagins tout en se laissant caresser par ses pseudopodes représentait l’expérience la plus délectable qui soit… Cette suggestion manqua de me faire fuir.
Ce en quoi j’aurais eu tort. La strip-teaseuse suivante me réconcilia avec mon estomac et plus généralement avec la vie de port. Incongruité totale pour un bouge tel que le Kunga, il s’agissait d’une humaine. Et quelle humaine ! Une blonde aux cheveux courts – frange ravageuse à la lisière de ses yeux soulignés de Khôl bleu – seins petits mais arrogants, taille ultra-fine, fessier avantageusement rebondi.
Pendant ce temps, Paulo proférait des commentaires peu flatteurs sur la blonde.
— Y’a rien à becqueter là d’dans ! disait-il d’une voix rendue aigrelette par les rots à l’hélium. Regardez-moi ça, plus frêle qu’une brindille et une simple paire de nichons !
Je haussai les épaules sans relever, ignorant ce crétin à tout jamais incapable d’apprécier la bonne camelote. Je n’avais pas une seconde à gaspiller : la croupe de la danseuse érotique ondulait juste sous mes yeux ! Je me laissai totalement absorber par cette cambrure évocatrice, ces courbes parfaites, ce déhanché hypnotique. Après une ultime pirouette, la belle quitta la scène, uniquement vêtue de son cache-sexe.
Par tous les trous noirs de l’univers ! Il me la fallait absolument !
Bien plus tard cette nuit-là, tandis que trois lourdauds se ...
... farcissaient un poulpe géant, j’entrai dans la loge de la demoiselle. Alanguie sur sa couche, la blonde m’attendait en sirotant un cocktail. La pénombre complice estompait la plupart des détails dans un dégradé de pourpre et de gris.
Après m’être rapidement déshabillé, je me suis allongé auprès de la Miss, laissant courir mes doigts sur son corps jeune et ferme. J’étais bien calé derrière elle, mon mat coincé dans le sillon de ses fesses, mes haubans tendus au maximum. Elle avait poussé la prévenance jusqu’à garder son string, un petit rien vaporeux en mousseline, me laissant le soin de lui ôter moi-même. Réfrénant une folle envie d’arracher ce mince rempart de pudeur, je glissai mes index de chaque côté de sa culotte.
— Je crains qu’il ne vous faille emprunter l’écoutille arrière, valeureux capitaine, fit la belle, d’une voix mélodieuse.
— Plus tard, peut-être… Pour l’instant, je n’ai qu’une hâte, me faufiler dans les méandres d’un bel abricot !
Aussi glissai-je d’autorité une pogne vigoureuse dans le filet à provision de la dame, bien décidé à pratiquer la spéléologie digitale. Et là, quelle disgrâce ! La jeune catin s’avérait être équipée… d’un sexe d’angelot et d’une vile paire de couilles !
oooOOOooo
Mais qu’est-ce que je fais là, moi ?
Je rêve d’un chocolat chaud et d’un bon bouquin, pour une soirée douce et sereine. Je pourrais même pousser le vice jusqu’à me réchauffer une part de cette tarte que j’ai faite hier soir… Fameuse.
Oui, mais je suis là. Et je ...