Dominé dans le bus de nuit (5)
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Platony, Source: Xstory
... le nez, la sensation est désagréable. Il se vide d’énormément de sperme et je tente de l’avaler. A l’arrière, je sens mon anus se remplir complètement. Je suis souillé, et je m’effondre sur le sol en tentant de reprendre mon souffle. Du sperme coule de ma bouche et de mon cul. Je suis dans un état second.
Pourtant, à ce moment, un bras me soulève, me couche sur une table, et s’enfonce à nouveau en moi. Je hurle ! J’entends des rires, et on arrache mon bandeau.
QUATRE.
Ils sont quatre à me regarder, à me filmer, à me mépriser du regard. Luc n’est même pas là ! Je ne les ai jamais vus, ils ont entre 25 et 40 ans je dirais. Je me débats, je lutte, mais je suis à bout de force.
D’une main, on ne jette sur le canapé et on s’enfonce en moi. Je suis crispé, et on me souffle des mots que je n’oublierai jamais :
— Relaxe toi, on en a pour un bout de temps.
Certains auraient peut-être paniqué en entendant ces mots, mais ça m’a fait l’effet inverse. C’est un sentiment de libération. J’accepte la situation plus facilement, je me détends, et je commence à reprendre le contrôle. Je bouge de moi-même, puis je regardé un gars dans les yeux, et je lui ai dit :
— Viens, donne-moi ta bite en bouche.
Je suis beaucoup plus actif : je m’enfonce sur leurs bites, je les masturbe pour qu’ils finissent, et certains prenaient même la peine de m’embrasser. Après un certain temps, j’ai remarqué qu’un des quatre du début avait été remplacé, et qu’un autre était arrivé, sans doute ...
... une connaissance, je ne me posais même plus la question.
Le problème, c’est que ce nouveau m’a pénétré alors que j’étais sur le dos, et m’a donné une gifle. Il a ouvert la boîte de Pandore : alors que tout se passait dans le respect jusqu’ici, la situation a dégénéré. J’ai commencé à me prendre des claques, me faire fouetter, prendre sans respect dans des positions inconfortables et craché dessus.
Je n’étais qu’une ombre, un pantin. Je me faisais défoncer, sans aucune pitié, mais bizarrement je commençais à y prendre du plaisir. J’ai vu qu’ils prenaient des photos, sans doute des vidéos, pendant qu’ils me baisaient. Et ça jouissait sur moi, en moi, sur mon visage, etc.
Une fois qu’ils étaient lancés, ils se sont comportés comme des bêtes, ils n’avaient plus aucune retenue. Et ce que je craignais arriva : alors que j’étais en train de chevaucher le seul qui m’apportait un peu de répit, une main est venue me forcer à me cambrer pendant qu’une bite entrait dans ma bouche, sans doute pour ne pas entendre ma désapprobation. S’en est suivi un petit jeu, où la première bite quittait mon cul, pour que la deuxième rentre, et inversement. La cadence s’est accélérée, jusqu’à ce que les deux se retrouvent en même temps, et s’enfoncent ensemble.
C’était trop : deux bites dans mon petit cul ? Je n’allais pas tenir. La troisième au fond de ma gorge m’empêchait de dire un seul mot, c’était d’une rare violence. Je n’étais plus rien, même plus humain. Je ne sais pas combien de temps ...