Dominé dans le bus de nuit (5) - Histoires de Sexe

Dominé dans le bus de nuit (5)

Je m’essuie comme je peux avec mes vêtements, mais mon corps dégage une odeur malsaine. Partout dans le bus, je vois les regards se poser sur moi. Certains veulent m’attendre à la sortie. Je décide de faire profil bas, et de filer pendant l’escale à Paris. Loin de Luc, loin de tous ces passagers, loin de tout. Au pire des cas, je prendrai un autre bus, le train suivant, ou un logement d’une nuit ici, mais je ne vais pas rester dans ce bus, tout le monde sait que je me suis fait prendre à de multiples reprises, et même si, je dois bien le reconnaitre, j’ai beaucoup aimé ce sentiment. Je ne veux pas être le trou à sperme d’une vingtaine de personnes.

Luc ressent ma détresse et me rend mes affaires. Il me passe même quelques mouchoirs. Sur un ton très calme, il me propose d’attendre le bus suivant dans l’appartement d’un ami à lui. Voyant mon hésitation, il me dit :

— C’est soit cette solution, soit la troupe de mâle en manque va te choper dans une ruelle près de la gare et tu vas passer trois très longues heures.

Les quelques regards que je perçois dans l’allée ne font que confirmer ce sentiment, mais je n’ai pas envie de passer pour un soumis passif qui ne sait pas prendre de décision. Si je l’accompagne, je le fais de moi-même.

— Et je veux que tu me prennes partout dans l’appartement de ton pote !

Ah, c’est sorti tout seul. Luc est plutôt surpris, et me gratifie d’un « On verra bien ».

Gare. Taxi. Hall d’entrée. Ascenseur. Tout est allé très vite, en 30 ...

... minutes on est arrivés. Et là, très naïvement, je me demande :

— Au fait, ton ami sera là ?

— Normalement, non.

Comment ça, normalement non ? A ce moment, Luc me noue un foulard sur les yeux, sans doute pour me désorienter dans les étages, et me fait rentrer dans un appartement que j’estime être au 7e.

Je me mets à genoux sous ordre de Luc et dans la seconde, je sens l’odeur d’un pénis. Directement, je le prends en bouche avec un plaisir non-dissimulé. Luc doit adorer, il m’a quand même sauvé d’une mauvaise situation. J’avale goulûment son sexe et j’en profite un maximum. C’est délicieux, et je prends énormément de plaisir à monter et descendre sur ce bel engin.

Il recule, alors je le suis naturellement à quatre pattes. C’est à ce moment-là que je sens une paire de mains sur mes hanches, et quelque chose à l’entrée de mon anus. Je n’ai pas le temps de réagir, ni de dire quoi que ce soit qu’un deuxième pénis s’enfonce en moi de tout son long, pendant que ma bouche est maintenue sur celui que je suce depuis cinq minutes.

L’inconnu qui me prend n’y va pas de main morte : mon anus dilaté me fait souffrir, il me brûle. Je veux hurler mais on m’impose gorges profondes sur gorges profondes. Incapable de penser, de réagir, je suis littéralement défoncé des deux côtés.

Après cinq minutes de ce traitement inhumain, je sens que mon bourreau arrière faiblit. Il ne va pas tarder. A l’avant, c’est dans la gorge que mon assaillant déverse tout son sperme. Je recrache par ...