1. Paris au mois d'août, un magasin vide


    Datte: 17/11/2018, Catégories: fff, rousseurs, inconnu, fépilée, magasin, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, strip, nopéné, init, Auteur: Chlo, Source: Revebebe

    ... n’a pas remarqué son trouble. J’oublie consciemment de refermer plus le rideau, les sens troublées par ce déshabillage que je sais très observé : la jolie rousse reste appuyée entre les deux cabines, proche de l’ouverture du rideau, alors que la femme a laissé le sien bâiller et enfile son nouveau jean en jetant des coups d’œil discrets. Toujours face à la glace, je finis de descendre la fermeture Éclair désormais accessible, laissant apparaître le petit nœud en haut de mon boxer, lui aussi noir transparent, qui descend en courbes jusqu’à mi-fesses. Décidément, cette situation m’excite de plus en plus ; je suis presque surprise de sentir que je suis mouillée. Je fais durer ce moment, me recoiffe, observe mon maquillage léger, le trait fin de maquillage noir au-dessus de mes yeux qui pétillent. J’entends la fille d’à côté demander une autre taille à sa copine. La tête résolument tournée de l’autre côté pour ne pas croiser mon regard, la fille rousse s’éloigne dans le couloir, me laissant un peu déçue.
    
    La femme en face est sortie de sa cabine ; elle se regarde dans le grand miroir. Elle a enlevé sa veste et porte une chemise blanche entrouverte qui laisse deviner un soutien-gorge de la même couleur. Elle est pieds nus mais rentre s’asseoir dans sa cabine pour remettre ses bottes. Je choisis ce moment pour faire glisser ma robe sur mes chevilles.
    
    Me voilà en sous-vêtements. Toujours face à la glace, je remets en place les bretelles de mon soutien-gorge transparent avec ...
    ... des coutures en dentelle noire, à travers duquel on distingue clairement mes tétons et leur étroite aréole. Ils pointent légèrement, marquant mon excitation. De la même façon, mon boxer assorti – donc transparent lui aussi – laisse apparaître le début de ma fente et ne peut cacher que je suis entièrement épilée ; avec mes jambes fines, on pourrait croire le sexe d’une fille de 16 ans juste pubère. Malgré ma pilosité de blonde – j’ai très peu de poils –, je me suis offert pour mes 27 ans une épilation définitive des jambes et des aisselles ; et après avoir cédé à mon ex qui me le réclamait sans cesse, j’ai commencé à me faire épiler intégralement le maillot il y a deux ans et y ai pris goût, au point que le rendez-vous mensuel chez l’esthéticienne est devenu incontournable.
    
    La femme en face est toujours assise, sur le bord du banc pour être en face de l’ouverture du rideau ; elle n’a enfilé qu’une botte et me regarde, cette fois de façon à peine cachée. Je vois dans la glace ses yeux qui parcourent mon corps de dos, remontent de mes mollets en s’arrêtant à mes fesses, ces deux globes et la raie de mes fesses si peu cachés par le tissu transparent, et ma chute de reins galbée. Je me cambre encore un peu plus, admirant dans la glace mon corps dont j’ai toujours été fière.
    
    Toujours aussi peu de monde dans les cabines. Certaines sont occupées au début du couloir ; des femmes sortent de temps en temps pour se regarder, mais ne prêtent pas attention à ce qui se passe autour ...
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