Appât pas à pas
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
telnet,
fsoumise,
humilié(e),
noculotte,
vidéox,
pénétratio,
yeuxbandés,
policier,
tarifé,
fsoumisah,
Auteur: Resonance, Source: Revebebe
... dure journée…
Mathilde partie avec le DVD, Marc se détendit un peu. La journée avait été dense en événements. Il repensa à Théron/Klein, et certains souvenirs le firent sourire. Ce type avait sans le savoir joué un rôle dans sa vie, et voilà que par coïncidence il réapparaissait De figurant, il était devenu personnage principal, dans le rôle du méchant.
Il ouvrit le document qui contenait la confession de MLF, relut ce qu’il avait écrit, puis réfléchit. Ses échanges avec Marie-Claire avaient révélé certains aspects de la personnalité de Klein, et en particulier sa volonté de contrôle, de mettre en scène ses partenaires sexuels – bien au-delà de sa satisfaction immédiate. Il n’aimait pas n’être qu’un personnage.
Klein voulait être metteur en scène, Marc avait de son côté une actrice qui pourrait, avec beaucoup d’efforts et un peu d’approximation, lui convenir – à tout le moins, par manque d’autre choix.
Il allait aussi lui fournir, par l’intermédiaire de MLF, un scénario.
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Vendredi, 8 heures
Marc et Mathilde se mirent à courir.
Ils n’étaient pas seuls. Trois fois par semaine, le capitaine Rousseau en personne emmenait la brigade entière dans une course d’une heure. L’exercice était obligatoire pour tous ceux en service, sauf dispense justifiée. Il était volontaire pour les autres, mais un pourcentage surprenant de la brigade y participait autant que possible.
Marc avait pris l’habitude de s’y joindre. Avoir une condition ...
... physique de jeune homme était important pour lui et de plus, cette participation avait positivement contribué à son intégration dans la collectivité des gendarmes.
Le capitaine établissait l’allure du peloton principal que Marc appelait le Gruppetto, à une allure plus qu’honorable pour un homme de son gabarit et de son âge. Ne pas parvenir à suivre l’allure de ce groupe était une cause de moqueries pas si gentilles que ça – Marc en avait subi quelques-unes à ses débuts, avant de retrouver au fil des semaines une condition qu’il avait perdue depuis longtemps.
Devant, on trouvait un petit tiers de l’effectif, isolés ou par deux ou trois. En tête, seule, on trouvait toujours le lieutenant Antonietti, dont le rythme soutenu était hors de portée des autres. Certains avaient essayé, et s’étaient invariablement mis dans le rouge avant la fin de l’heure.
Ce jour-là, Marc essaya… Dix minutes plus tard, son souffle était rauque, un voile noir commença à descendre sur lui, et il se dit rien ne le sauverait. Il la laissa partir, sachant qu’il allait payer son surrégime pour le reste de la distance. Un peu plus tard, il arriva sur un stade – c’était là que le nombre de tours déterminait les différences de distance entre coureurs, puisque tous devaient courir environ le même temps. Le Gruppetto faisait un ou deux tours, Mathilde souvent une douzaine. Ce jour-là, Marc en fit sept, repartit bien avant elle.
Juste avant d’arriver, il fut doublé par Mathilde, au sprint.
Ceux qui ...