Le lendemain matin...
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
2couples,
fdomine,
noculotte,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
échange,
entrecoup,
fbi,
hbi,
Auteur: Hardi7273, Source: Revebebe
... l’amour, mais je dois l’avouer, j’en mourrais d’envie. Alors je me suis laissé aller et, très vite, je me mis à jouir d’une façon phénoménale.
Pourtant, avec la soirée de la veille, je ne pensais pas en arriver là. Mais j’avais tellement fantasmé sur Nadine, sans le dire, lorsque je me suis laissé aller, j’ai connu un plaisir comme j’en avais peu connu, même avec Claire. Je pense que Nadine dut s’en rendre compte, car elle me gratifia de quelques bisous très tendres, mais qui me donnaient encore mille sensations.
Serge, de son côté, avait un peu mieux résisté que moi. Pourtant, je peux vous garantir que, quand elle le veut, on ne résiste pas longtemps à la bouche de ma femme. En comprenant à mes réactions que je venais de jouir dans la bouche de la sienne, Serge se laissa aller à son tour.
J’ai senti, à mon grand regret, Nadine s’éloigner et je la vis réapparaître avec Claire. Elles reprirent leurs places sur leurs chaises. Elles avaient toutes les deux du sperme qui coulait le long de leurs bouches, et elles eurent une réaction qui, pour Serge comme pour moi, nous ouvrit de nouveaux horizons. Nous n’eûmes pas besoin de parler, pour savoir que nous allions en profiter bientôt. Elles nettoyèrent le visage de l’autre avec leurs langues, et finirent par un baiser qui n’était pas feint.
Nadine, qui décidément semblait avoir pris les choses en main, et que bizarrement nous laissions faire, se retourna vers nous en disant :
— Eh bien Messieurs, à vous de prendre ...
... votre dessert !
Nous ne nous sommes pas fait prier davantage, et nous nous sommes glissés à notre tour sous la table. Serge et moi nous sommes regardés, et je l’ai vu se diriger vers Claire. J’en fus ravi, car je mourrais d’envie de goûter de nouveau au sexe de Nadine. Je vis bien à sa réaction qu’elle désirait que ce soit moi. Comme la veille, elle appuya ses mains sur ma tête et me colla contre son sexe. Manifestement, Nadine aimait commander et diriger.
Bien que j’aime prendre des initiatives avec les femmes avec qui je fais l’amour, lorsque l’une d’entre est plus dirigiste que moi, j’aime bien me laisser faire. Mes lèvres étaient collées sur son sexe, ma langue la fouillait, et je la sentais mouiller profondément. Je lui rendis la monnaie de sa pièce et m’arrêtai quand je la sentis sur le point de jouir. Cette amie, que je connaissais auparavant, vivait son plaisir avec des mots crus dont je ne l’aurais pas cru capable. Claire, elle aussi, avait des mots crus pour dire à Serge ce qu’il devait faire et on entendait des :
— Vas-y, suce-moi ! Oh ! oui, c’est bon, ne t’arrête pas ! Vas-y, mets tes doigts !
De mon côté, j’avais mis un doigt, puis deux, dans la chatte de Nadine et elle semblait adorer cela. Elle s’était un peu allongée sur la chaise, ainsi je pouvais deviner sa petite rondelle. J’avançais ma langue.
— Oh ! Il me bouffe le cul, s’exclama-t-elle ! Oh oui, j’adore cela, continue ! Continue ! Oh oui ! Mets-moi ton doigt dans le cul ! Vas-y ! Vas-y ...