1. Le lendemain matin...


    Datte: 16/11/2018, Catégories: 2couples, fdomine, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, échange, entrecoup, fbi, hbi, Auteur: Hardi7273, Source: Revebebe

    ... suite où elle les avait posées. Serge réagit immédiatement et lui caressa les seins à deux mains. Quand Nadine se retourna, bien qu’un peu surprise, elle eut un sourire et dit :
    
    — Ne vous gênez pas tous les deux. Et toi, qu’est ce que tu attends pour me dire bonjour ?
    — J’attendais que tu aies fini de les faire cuire, j’avais peur que tu te brûles.
    
    Elle posa la poêle avec les œufs sur la table, et s’approcha de moi en disant :
    
    — Tu ne vas pas jouer les timides, maintenant !
    
    Et se collant contre moi, elle me tendit ses lèvres. Tout en l’embrassant, je lui caressai les seins et les fesses, et je pus m’apercevoir qu’elle était nue sous son déshabillé. Pendant ce temps, elle avait posé sa main sur mon sexe et me caressait doucement. Claire et Serge aussi étaient en train de s’embrasser, Claire ayant relevé ses bras autour du cou de Serge, elle faisait ressortir ses seins que Serge se faisait un plaisir d’honorer.
    
    — Les œufs vont refroidir. À table, dit soudain Nadine en s’écartant de moi (à mon grand regret).
    
    En nous regardant, nos femmes eurent un petit rire.
    
    — Vous ne pouvez pas dire qu’on ne vous plaît pas, au moins. C’est très flatteur pour nous.
    
    Et en effet, les bosses qui déformaient nos pantalons nous interdisaient de dire autre chose.
    
    Nous nous sommes mis à table et avons dévoré le petit déjeuner. Nous étions tous morts de faim. Le repas fini, Nadine dit soudain, en regardant ma femme avec un grand sourire – que je trouvais un peu coquin ...
    ... :
    
    — Claire, et si nous passions au dessert ?
    — D’accord, lui répondit ma femme, qui avait compris au quart de tour.
    
    Par contre, Serge et moi n’avons compris que quelques secondes plus tard, quand nous les avons vues se glisser sous la table. Rapidement, des mains impatientes s’attaquèrent au bouton et à la fermeture éclair de mon short. Puis une main douce saisit mon sexe et commença à me caresser. J’espérais de tout mon cœur qu’il s’agissait de Nadine, car j’avais vraiment envie d’elle, et je fus tout content quand j’entendis Claire dire :
    
    — Dis donc, il est prêt ton mari, il n’a même pas de slip !
    — Le tien non plus, lui répondit Nadine, avant de poser sa bouche sur mon sexe.
    
    Je sentis sa langue jouer avec le bout de mon sexe, puis sa bouche l’emprisonna, et tout doucement se mit à descendre et à remonter, dans une succion qui était à la fois un délice et un supplice. En effet, dès qu’elle me sentait sur le point d’exploser, elle s’arrêtait et ne reprenait, que quand elle sentait qu’elle le pouvait. Je voyais au visage de Serge que Claire lui faisait la même chose, et je peux vous assurer qu’à ce petit jeu là, elle n’avait rien à envier à Nadine.
    
    Après nous avoir fait subir cette délicieuse torture pendant plusieurs minutes, Nadine se mit à me sucer avec la volonté évidente de me faire jouir. Je voulus lui rendre la monnaie de sa pièce, en résistant le plus longtemps possible. Depuis la veille, je m’étais interdit de jouir dans sa bouche pour pouvoir lui faire ...
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