1. Visages


    Datte: 10/02/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, fépilée, caférestau, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral uro, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... la délicieuse senteur légèrement vanillée et délicatement sucrée qui flattait jusqu’ici mes narines vint s’ajouter celle plus âcre et relevée de la flagrance de sa vulve. C’est d’abord mon nez qui sentit l’affectueux contact de ses petites lèvres.
    
    — Je suis toute mouillée… et pourtant je me suis retenue, pour que vous n’en perdiez pas une goutte !
    
    Et elle joignit le geste à la parole en agrippant mes cheveux d’une main, et en guidant mon visage sans violence, mais avec autorité, tout contre son petit con chaud et humide. J’eus à peine le temps de savourer le bouquet délicieusement salé de son petit puits d’amour qu’une autre saveur plus salée encore vint s’insinuer entre mes lèvres. Elle n’avait pas pu se retenir plus longtemps, et un premier jet d’urine inondait déjà ma langue puis s’écoulait dans ma gorge. J’eus à peine le temps de déglutir qu’un second jet, tout aussi bref mais plus vigoureux, vint rincer l’intérieur de ma bouche. Cette fois-ci elle me laissa reprendre ma respiration et je pus entendre quelques gémissements et le doux son de sa voix.
    
    — Humm, comme c’est bon ! J’aime sentir votre bouche ! Baisez-moi !… Tétez-moi ! Sucez-moi, je vous en prie !
    
    Je ne me fis pas prier plus longtemps et bientôt je me mis à la lécher bruyamment, à tel point que je l’entendis à peine susurrer :
    
    — Oh, oui ! Continuez à me laper comme un gros toutou !
    
    Elle-même se mit à balancer son frêle bassin, de telle sorte qu’elle semblait se branler littéralement sur mon ...
    ... visage. Son mouvement s’accéléra et s’amplifia au point de sentir maintenant sous ma langue non seulement l’exquise suavité de ses lèvres intimes mais aussi la saveur plus âcre encore du sillon délicieux de ses petites fesses. Par intermittence, ma langue flattait désormais sa rosette alors que mon nez fourrageait son petit con.
    
    Tout en continuant sa cavalcade érotique, ma charmante écuyère se mit en devoir de ses petites mains agiles de libérer mon sexe et de caresser délicatement mes bourses. Le frottement léger de ses paumes satinées contre mes couilles me fit bander instantanément. Elle s’en rendit compte rapidement, car elle fit bientôt coulisser ses doigts graciles contre ma hampe dressée, tout en se trémoussant. Elle poussait des petits cris et sa respiration s’accélérait pour ensuite proférer en criant des paroles obscènes, sans jamais curieusement cesser de me vouvoyer :
    
    — Oh oui mon cochon, comme vous sucez bien ! Et comme j’aime vous sentir dans mon cul ! Comme c’est bon de sentir votre belle gueule frotter ma raie et labourer ma chatte !
    
    Et puis elle se mit à crier en pilonnant de plus belle ma face avec son entrecuisse et ses fesses comme pour un crapuleux rodéo… Ce moment d’extase pour elle, alors qu’elle ne cessait de me branler maintenant des deux mains, dura de longues minutes et je me sentais presque suffoquer, prisonnier de son intimité. C’est alors que je me mis à jouir et à gicler jusqu’à la base de son cul.
    
    Quelques secondes plus tard, c’est ...
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