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Visages
Datte: 10/02/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, fépilée, caférestau, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral uro, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe
... comme une sorte de supplication dans ce regard sans fond qui était plus beau et pénétrant encore à la lueur des bougies. — Nous pouvons bien trouver un endroit pour cela ? C’était complètement surréaliste… Cette jeune femme sublime qui exprimait soudain, alors que je la connaissais depuis si peu de temps, un désir sexuel direct vis-à-vis de moi qui était le père de sa meilleure amie. La nature même de ce désir qui paraissait si pervers dans la bouche d’une jeune femme apparemment si sage et qui continuait à me vouvoyer. Le lieu où elle me faisait cette déclaration : un restaurant grouillant de monde où je savais que notre conversation aurait pu attirer l’attention d’autres clients. En même temps, la violence de la pulsion qui s’emparait de moi me fit perdre toute volonté de raisonnement et plus encore de contrôle. Je lui répondis par un sourire… Nous nous sommes empressés de terminer ce repas qui était la première contrainte qui nous empêchait de « passer à l’acte ». En sortant précipitamment du restaurant main dans la main comme de jeunes amoureux, ce que nous étions en quelque sorte, je n’avais aucune idée de l’endroit où nous pourrions le plus rapidement possible assouvir notre envie… Je pensais bien aux portes cochères, mais dans ce quartier de Lyon il était bien difficile en pleine journée d’en trouver une qui ne soit fermée et sécurisée. Finalement nous avons pu nous faufiler dans un immeuble en profitant de l’entrée d’un locataire… Nous sommes montés le ...
... plus haut possible par le grand escalier pour arriver à une petite buanderie qui donnait directement sous les toits. C’était un réduit un peu exigu mais très bien éclairé par une verrière qui en formait le plafond et qui diffusait une douce chaleur sous un soleil de printemps. C’est là que nos bouches se sont à nouveau rencontrées pour un baiser bref mais plein d’ardeur, où sa langue est venue encore caresser la mienne. Et ce n’est que lorsqu’elle m’a repoussé gentiment que je me suis rendu compte qu’elle s’était déjà débarrassée de sa jupe qui gisait à terre alors qu’elle faisait glisser prestement sa petite culotte le long de ses divines cuisses. Je me suis bientôt retrouvé assis confortablement et sans savoir comment sur une grande caisse en carton remplie de serpillières. J’avais alors une vue merveilleuse sur sa petite chatte à la fois pudique, tant ses lèvres étaient finement dessinées, mais totalement nue, si ce n’était la présence d’un fin duvet brun qui recouvrait discrètement son mont de vénus. J’appréciais déjà sa peau très claire, mais à cet endroit elle était plus claire encore et laissait deviner, par le dessin d’un petit triangle immaculé, l’usage d’un maillot de bain des plus réduits. J’étais véritablement en admiration devant une telle beauté qui m’apparaissait si pure… quand elle me tira de ma rêverie. — Alors, vous vous décidez ? Vous savez, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps ! Je ne mis pas longtemps moi-même à obéir à son appel, et à ...