1. Souvenir d'étudiant


    Datte: 15/11/2018, Catégories: ffh, jeunes, copains, école, Oral pénétratio, fdanus, nostalgie, portrait, Auteur: LoveSymbol, Source: Revebebe

    ... il faisait encore relativement chaud quand je l’ai raccompagnée. Arrivé devant chez elle, je me préparais à retourner directement vers chez moi, mais Pascale m’a attrapé la main en me disant « j’aimerais que tu restes ». J’étais un peu étonné de sa demande, mais j’acceptai évidemment tout de suite. Sans arrière-pensée et sans m’imaginer le moins du monde que nous allions faire l’amour.
    
    Son studio était au deuxième et, alors que nous montions l’escalier, elle juste devant moi, elle s’est retournée, m’a sauté au cou, a collé ses lèvres aux miennes et a dardé sa langue dans ma bouche. J’ai hésité à répondre à son baiser. J’ai hésité, au moins… deux secondes. Puis ma langue a rejoint la sienne et nous nous sommes embrassés longuement, avidement. À la fin de ce baiser, elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit :
    
    — Ce soir, j’ai envie de toi. J’ai envie de te baiser et j’ai envie que tu me baises. Je vais te sucer, te faire jouir et avaler tout ce que tu m’offriras. Tu t’enfonceras en moi et tu me feras jouir. Tu seras doux et tendre, je le sais. Je te connais trop bien. Nous allons faire l’amour et prendre notre pied tous les deux. Ce soir et seulement ce soir. Demain, nous serons de nouveau des amis, mais ce soir je veux du sexe, du plaisir, des orgasmes, et je le veux avec toi.
    
    J’étais abasourdi. Et ravi. Je n’ai rien répondu. J’ai simplement fermé les yeux et recommencé à l’embrasser. Plus avidement encore. Tout en commençant à la caresser de manière plus ...
    ... exhaustive à travers ses vêtements. Je pelotais ardemment ses fesses d’une main et caressais son entrejambe de l’autre. En retour elle malaxait mon membre bien rigide au travers de mon pantalon. Je bandais. Dur. Très dur.
    
    Nous étions toujours dans la cage d’escalier à nous embrasser et nous caresser quand j’ai commencé à déboutonner son chemisier. Elle m’a dit :
    
    — Attends, pas ici…
    
    Et nous avons gravi quatre à quatre les dernières marches. À peine la porte du studio refermée, elle m’a dit de me déshabiller. Elle s’exécuta de même et en moins de trente secondes, nous étions nus, l’un devant l’autre. Elle était belle. Pure. Ses seins lourds pointaient vaillamment leurs mamelons vers moi et ma bite faisait de même vers elle. Il y eut un léger moment d’hésitation, puis elle s’est mise à genoux devant moi, et a commencé à branler ma queue avec énergie, comme pour tenter de la faire durcir encore, si cela était possible. Elle m’a ensuite gobé d’une pièce, faisant directement plonger mon gland au plus profond de sa bouche. Puis elle a fait remonter sa bouche tout au long de mon membre, avec une lenteur calculée et un jeu de langue expert. Au bout de sa remontée, mon gland juste au bout de ses lèvres, elle m’a dit :
    
    — Je sais que tu aimes qu’on te suce. Tu me l’as déjà dit. Et moi, j’adore sentir les veines d’une belle bite palpiter dans ma bouche. Je peux faire tenir un homme des heures sans qu’il éjacule, si je veux. Il parait que c’est à la limite de la torture. Mais toi, je ...
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