Souvenir d'étudiant
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
ffh,
jeunes,
copains,
école,
Oral
pénétratio,
fdanus,
nostalgie,
portrait,
Auteur: LoveSymbol, Source: Revebebe
... seulement la nuit allait être vouée à la pratique de l’art sexuel, mais j’allais vraisemblablement sauter la fille la plus convoitée de l’université, en plus de ma meilleure amie. Pascale s’est alors retirée de moi et s’est levée, tout en disant :
— Tu as raison, elle en vaut la peine cette bite. Viens, nous allons lui offrir une nuit qu’il ne sera pas près d’oublier.
Christine avait un corps sublime. Des seins bien fermes, des fesses galbées, une taille de guêpe. Une fille comme on n’en voit que dans les magazines de mode. Sauf que là, elle était bien réelle devant moi, nue, et avide de se faire tringler. Par moi. Et, en prime, une seconde fille à peine moins jolie et tout aussi gourmande. Il était clair pour moi qu’à partir de maintenant, la situation m’échappait et que je ne pourrais que répondre à leurs demandes, qu’il me serait impossible de prendre la moindre initiative.
Elles m’ont entrainé vers le lit, et se sont couchées contre moi, une à gauche, une à droite. Pascale m’a embrassé, puis Christine a fait de même… puis elles se sont embrassées à pleine bouche. Longuement. Elles avaient chacune posé une main sur mon bas-ventre. L’une d’elles jouait avec mon épieu pendant que l’autre me malaxait les bourses… Ensuite les mains se croisaient pour inverser les rôles. Ce petit jeu a duré quelques minutes, avant qu’elles ne décident de m’offrir ce qui reste encore aujourd’hui un de mes meilleurs souvenirs sexuels.
Une pipe à deux bouches qui avalaient tour à tour ...
... ma hampe dressée bien haut. À quatre lèvres qui se réunissaient pour enserrer mon vit. À deux langues, qui jouaient à cache-cache autour de mon chibre. Un rêve. L’extase. Le nirvana. Elles s’étaient placées de telle manière que mes mains pouvaient accéder à leur sexe. Et j’essayais de leur offrir moi aussi un peu de plaisir, en ayant de chaque côté un doigt enfoncé dans une chatte et un doigt plongé dans un cul. Je voulais mettre une cadence régulière à ces attouchements, mais c’était impossible, tant le plaisir provoqué par leurs bouches me faisait perdre le contrôle. Quand je fus au bord de l’explosion, elles calmèrent le jeu. Elles ne voulaient apparemment pas perdre tout de suite le bénéfice de mon érection.
Pascale est revenue s’empaler sur moi tandis que Christine se positionnait face à elle, jambes écartées, au-dessus de ma couche. Pascale entama sa chevauchée. Cadence de pas dans un premier temps, puis assez vite à un rythme de trot. Et moi, je visitais tous les recoins du con aux poils blonds de Christine. Elles se mirent rapidement à gémir toutes les deux. Des gémissements parfois étouffés, parfois bruyants. J’ai supposé qu’elles s’embrassaient de nouveau. Pascale était maintenant lancée en plein galop, bien décidée à me faire exploser en elle. Christine m’envoyait des « Je vais jouir, je vais jouir ! » et déversait dans ma bouche une quantité assez étonnante de sa liqueur interne, au goût suave et au parfum envoûtant.
Puis nous avons joui. Tous les trois. En ...