Paris 75016
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
nympho,
bus,
collection,
BDSM / Fétichisme
préservati,
coprolalie,
journal,
occasion,
Auteur: Scorpiondeluxe, Source: Revebebe
... chatte et qu’elle a besoin de bien se faire ramoner ! Ce décalage entre sa classe et son langage ne fait que rajouter à mon excitation et à mon envie de bien la baiser…
Ni une, ni deux, toujours en vison, elle remonte sa jupe, dévoilant ses bas et son porte-jarretelles, enlève son string et écarte bien les jambes en me disant :
— Prends-moi avec ta belle queue.
Je pose ses jambes sur mes épaules, enfile un petit capuchon, et entreprends de la besogner avec beaucoup d’application, alternant les rythmes, tantôt doux, tantôt violents. Sa chatte dégoulinante est un vrai appel au sexe, intense et débridé. Elle est en manque de sexe et ça se voit. Je claque mon entrejambe contre son bassin, elle pousse des petits cris, des Huuuum, des Hooooo, des Haaaa, des « défonce-moi comme une pute », des « prends-moi bien à fond », des « empale-moi avec ta belle bite », des « je te sens bien en moi », des « vas-y encore plus fort, je veux que tu me baises »…
En la défonçant comme ça, je lui dis que je ne vais pas mettre longtemps à venir. Elle me dit alors :
— Attends…
Elle retire ma ...
... queue de sa chatte, retire mon préservatif et me branle avec ses gants noirs, me fixant droit dans les yeux.
— Tu vas jouir pour Brigitte, ta belle salope, hein !
— Oh oui, t’es une belle salope en rut.
— Vas-y, gicle sur mes gants
— Oh oui, t’arrêtes pas… tu vas me faire venir.
— Donne-moi tout ton foutre… JE LE VEUX ! Ooooooooooooooooooooooooh.
Et je me déverse en longues giclées, le sperme laissant des traînées blanchâtres sur ses gants noirs, qu’elle s’empresse de lécher toujours en me regardant.
— Hmmmmmmmm… J’aime tellement ça, le sperme…
Ensuite, comme si de rien n’était, nous avons pris un thé pour nous remettre et, comme on dit, on a « remis le couvert » plusieurs fois, jusqu’à une heure avancée de la soirée, cette belle sexagénaire se révélant être un vrai volcan en fusion.
Et quand nous nous quittons elle me dit laconiquement :
— J’adore me perdre dans la débauche avec des inconnus. Je ne sais pas aimer, on ne m’a jamais appris.
— Mais… et votre mari… vous l’aimiez ?
— (sourire) Non, il n’a pas disparu en fait, il est juste parti en voyage d’affaire.