Paris 75016
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
nympho,
bus,
collection,
BDSM / Fétichisme
préservati,
coprolalie,
journal,
occasion,
Auteur: Scorpiondeluxe, Source: Revebebe
... sous-entendus…
Descendus du bus, je me rapproche d’elle et lui dit d’un air (très) innocent :
— Puis-je vous faire un compliment ? Je vous trouve très en beauté, Madame…
— Merci jeune homme, c’est très aimable à vous
— Vous habitez dans le quartier ?
— Oui, je vis seule depuis que mon mari est décédé, il y a six mois de cela.
— Vous m’en voyez désolé. Peut-être pourrais-je vous offrir un café pour avoir le plaisir de parler un peu avec vous ?
— Je ne dis pas non, mais c’est moi qui vous invite chez moi. Nous serons plus à l’aise pour faire connaissance.
Alors là, je me dis que j’ai affaire à une sacrée bourgeoise, très « salope » et que ce dimanche après-midi, même en plein hiver, s’annonce chaud, très chaud même !
— Je m’appelle Marc, et vous ?
— Brigitte. Enchantée. J’habite juste ici, me dit-elle alors que nous étions arrivés devant le porche d’un immeuble Haussmannien cossu du triangle « Neuilly/Auteuil/Passy »…
Elle ouvre la porte et nous entrons dans une cour intérieure très bourgeoise. Puis je la suis jusqu’à un ascenseur ancien, petit et grillagé pour nous mener jusque chez elle.
La promiscuité, son parfum, son regard de braise, son manteau de fourrure qu’elle a négligemment entrouvert, je ne sais plus trop quelle a été cette petite étincelle qui a déclenché ce baiser torride et enflammé qui nous étreints jusqu’au sixième et dernier étage… Nous langues se cherchent sans cesse, mes mains affolées caressent ses hanches et elle me caresse ...
... doucement les cheveux. Je sens ses seins lourds qui s’écrasent contre mon torse. Là, je commence sérieusement à être, très à l’étroit dans mon pantalon.
Arrivés devant sa porte, nous sommes, elle et moi, transportés par cette étreinte.
Sitôt la porte refermée, elle me chuchote au creux de l’oreille un :
— C’est ça que tu voulais, mon salaud, une belle salope bourgeoise qui a faim de sexe et de ta grosse queue que je sens bander si dur dans ton pantalon ?
Je n’ai pas le temps de dire ouf, qu’elle s’agenouille, entreprend de défaire ma ceinture, descendre mon pantalon sur les chevilles et me gobe littéralement mon beau sexe fièrement dressé.
Sa bouche chaude, ses bruits de succion… sont un vrai délice. La voir comme ça, toujours avec son manteau de vison entrouvert, ses gants noirs (qu’elle a gardés), sa jupe, la lisière de ses bas et ses hauts talons, ça me donne une trique d’enfer… Elle me regarde en me suçant et je lui tiens son visage, agrippant son serre-tête, pour lui impulser un bon rythme…
— Brigitte vous me sucez divinement bien…
— Huuuuuuumpf
— Brigitte vous êtes une belle salope…
— Sluuuuuuurp
— Brigitte vous êtes une belle bourgeoise en rut…
— Glooooooups
Quelle belle mise en bouche. Elle me prodigue une belle « gorge profonde » bien gourmande. Cela sent la nympho en manque de sexe, la belle salope classieuse. Elle m’entraîne alors vers son canapé en cuir blanc, me disant que ça fait longtemps qu’elle s’était pas pris un bon coup de queue dans la ...