Ma première fois avec Katherine
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
Auteur: DXD, Source: Revebebe
... lentement, puis de plus en plus vite, en me regardant droit dans les yeux l’air de dire "vas-y essaie de ne pas prendre ton pied", je me sentis vibrer comme jamais à chacun de ses coups de reins, je poussais carrément des cris de plaisir ; ce qui tirait à Katherine un sourire satisfait et condescendant. Il faut dire qu’elle ne ménageait pas sa peine pour me faire vibrer, elle se démenait sur moi comme une sauvageonne, me griffant le torse, m’embrassant parfois, me mordant le menton ou le cou d’autres fois, allant même jusqu’à me gifler (pas trop fort non plus) à deux ou trois reprises.
Plus d’une demi-heure passa ainsi, et Katherine continuait de mener la danse, me faisant littéralement perdre la tête à chacun de ses va-et-vient. Même si c’était ma première fois, je parvins à ne pas jouir durant tout ce temps, ce qui me rendit assez fier. Fierté décuplée au centuple, quand je voyais que Katherine tout en me faisant le plus grand bien trouvait elle aussi son compte dans cette histoire. Voir son beau visage torturé par le plaisir qu’elle se procurait avec moi, l’entendre gémir de concert avec moi à chacun de ses coups de reins était une source immense de fierté et de plaisir. Elle semblait particulièrement apprécier quand je me redressais pour lui dévorer les seins, et à chaque fois, tout en continuant de se déhancher, elle m’attrapait la tête et l’enfouissait dans sa généreuse poitrine, pour mon plus grand bonheur et pour le sien.
Durant tout ce temps néanmoins c’est ...
... elle qui dominait, et à chaque fois que j’essayais de reprendre le contrôle des opérations, elle me repoussait, me plaquait sur le lit, m’immobilisant les bras avec ses mains, son sourire narquois aux lèvres. À ma quatrième tentative pour reprendre le dessus, elle me dit après m’avoir de nouveau refoulé :
— Chut laisse-toi faire mon grand, tu es à moi, et tu ne peux rien y faire, profite de la situation !
— Moi je veux bien répondis-je entre deux râles de plaisir, mais ça fait un moment qu’on y est, tu fatigues pas ?
— Moi ? Tu rigoles, je pourrais continuer comme ça des heures ! De toutes les façons, je te finis quand je veux.
— Tu parles ! dis-je, ça fait une heure que j’y suis et je suis sûr que je peux encore tenir une heure !
— Seulement si je le veux mon chéri !
Et devant mon incrédulité, elle joignit le geste à la parole. Elle commença à faire des mouvements de bas en haut à une vitesse folle. Au premier mouvement qu’elle fit, je sentis le plaisir monter en moi à toute vitesse, et je dus me retenir de toutes mes forces pour ne pas jouir. Sans me laisser un seul instant de répit, elle recommença, une seconde fois et cette fois-ci je poussai un grand cri et je lui griffai le dos tant le plaisir était immense. Au troisième coup je jouis, me déversant en elle dans une vague de plaisir dévastatrice. Katherine poussa un hurlement à ce moment-là, ce qui m’indiqua qu’elle aussi avait joui.
— Qu’est-ce que je t’avais dit chéri ? Je te fais jouir où je veux quand je ...