Ma première fois avec Katherine
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fh,
Auteur: DXD, Source: Revebebe
... Le reste de la soirée se passa péniblement, condamné que j’étais à voir un autre se faire chauffer par Katherine que j’avais bêtement laissé filer.
Plusieurs heures après, au moment d’aller se coucher, je réalisai bien vite que le pire était à venir : il ne restait plus qu’une chambre de disponible pour moi et elle était juste à côté de celle de Katherine et de sa conquête. Je ne vous raconterai pas en détail la nuit que je passai, condamné comme j’étais à écouter Katherine et son amant s’envoyer en l’air, et de me dire à chaque gémissement de cette chaudasse« Ça aurait pu être moi. ».
À 7 h du matin, les gémissements finirent par s’arrêter, et je m’endormis profondément. Lorsque je me réveillai, je réalisai qu’il était 16 h… Je descendis dans le salon pour découvrir que la maison semblait déserte. Je me mis à chercher du monde, n’osant croire qu’il ne restait plus que Katherine et moi… Je la découvris dans la cuisine, seule, en pyjama ultra sexy, qui se composait d’un short très court, et d’un mini-débardeur qui ne recouvrait ni son ventre plat, ni le bas de son dos.
— Salut mon grand, me dit-elle avec sa voix langoureuse, bien dormi ? Pas trop dérangé par les bruits de cette nuit ?
Je répondis par un grognement et changeai de sujet.
— Je peux rester pour manger ? Je meurs de faim.
Elle se tourna vers moi et me dit avec un sourire carnassier :
— Je suis sûre que t’as pas faim…
— Bah si, je viens de dire que je crevais de faim.
— Peut être, mais je ...
... parie que tu préférerais me baiser…
Je restai interdit, je ne pensais pas avoir droit à une deuxième chance, mais peut-être était-ce un piège pour me torturer encore plus ?
— Et qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envie de toi ? dis-je pour gagner du temps.
— La bosse dans ton pantalon, me répondit-elle avec son sourire narquois.
Je rougis, ne sachant quoi répondre, et n’étant toujours pas sûr qu’elle n’était pas juste en train de me chauffer pour s’amuser. Elle m’ôta ce soupçon en se jetant sur moi et en m’embrassant plus sauvagement encore que la veille. Après un bref instant de surprise et d’émotion, je lui rendis son baiser avec fougue, l’enlaçant et lui caressant les fesses. Cette fois-ci, plus question de la repousser. Néanmoins, je restai prudent et profitai qu’elle m’embrassait le cou pour lui demander :
— On est seuls, hein ?
— Seuls au monde, mon chéri me répondit-elle, jusqu’à ce soir !
— Parfait dis-je.
Je la pris dans mes bras, la portai, et l’étalai sur la table. Tout en lui tenant les bras, je lui embrassai le cou, les seins (à travers son pyjama), le ventre, puis les cuisses et les jambes. Elle commença à haleter, quant à moi j’étais tellement dur que je craignais presque de déchirer mon caleçon.
Elle finit par me repousser, se relever et m’entraîner à l’étage. Dans l’escalier, je continuai d’embrasser fiévreusement chaque parcelle de son corps que je pouvais atteindre, et elle faisait de même.
Arrivés à l’étage, je la portai, et la ...