1. Educatrices Ch. 03


    Datte: 14/01/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... une grande, en un mot elle avait découvert tout un monde de stupre et de fornication qu'elle n'avait même pas jusque là soupçonné.
    
    Elle se réjouissait de voir arriver Françoise, sa servitude en serait d'au-tant allégée, et c'est donc deux fois moins épuisée qu'actuellement qu'à l'avenir elle quitterait le boulot.
    
    Françoise elle même verrait bien que bientôt elle aussi prierait afin que l'infirmière tombe dans leurs rets, car si elle venait rejoindre leur club, c'est autant qui leur serait épargné à elles deux.
    
    Le repas se déroula dans le calme, tous trois réfléchissaient à la meil-leure façon de piéger l'infirmière, ils en discutaient fiévreusement, écha-faudant les plans les plus sophistiqués qui les autoriseraient à soumet-tre la belle rousse.
    
    Ils étaient si absorbés que c'est à peine si, au cours des allées et venues de leurs serveuses, les mains s'égarèrent sous les jupes pour palper distraitement les croupes dodues ou flattèrent sans plus d'insistance les intimités velues.
    
    La vaisselle expédiée, vers 9 heures, ils vérifièrent que les trois petits se trouvaient bien face à l'écran, ils leur rappelèrent leurs recommandations et s'en furent épier la rousse panseuse.
    
    Elle logeait dans une maisonnette en contre-bas, du haut du talus, allon-gé dans les hautes herbes, dissimulé par d'épais buissons, on pouvait sans risque embrasser du regard tout le studio, on apercevait distincte-ment le lit à gauche le long du mur, le coin toilette avec sa cabine de ...
    ... douche et les WC sur la droite.
    
    Pour l'instant, le dos tourné à la baie vitrée, la jeune femme inconsciente des regards évaluateurs regardait la télé.
    
    Les trois comparses, nantis de leurs esclaves, pouvaient surveiller en toute sécurité, éloigné d'une petite vingtaine de mètres tous les faits et gestes de leur proie.
    
    Pour l'instant elle se servait un verre d'alcool bien tassé, son ennui de-vait être profond, car dans les vingt minutes qui suivirent elle ne consomma pas moins de trois verres bien remplis. Enfin elle se leva, éteignit le poste et voulut descendre les stores, Char-les avait bien travaillé, elle ne put les baisser et abandonna rapidement.
    
    Elle semblait engourdie, vraisemblablement par l'alcool, ses évolutions étaient lentes, ses gestes amples mais ralentis.
    
    Elle commença par déboutonner sa blouse, apparaissant en combinai-son noire, puis toujours aussi doucement elle l'enleva offrant à ses ma-teurs subjugués un spectacle d'un fol érotisme douillet.
    
    Ses sous vêtements contrastaient fortement avec l'image traditionnelle de la femme au travail, ils contemplèrent tout d'abord la lisière large des bas noirs attachés aux fines jarretelles qui striaient les cuisses à la couleur pain d'épice.
    
    Le porte jarretelle qui lui cernait le ventre était noir incrusté de dentelles rouges, bientôt ils virent qu'il était assorti au soutien gorge contenant tant bien que mal son opulente poitrine.
    
    Continuant son strip-tease involontaire, elle posa le pied sur une ...
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