Educatrices Ch. 03
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... entamait des allées et venues dans sa gaine, rapidement, il plongea un second doigt dans le tendre ré-ceptacle.
Françoise eut un petit sursaut de douleur, son trou secret distendu à la limite de la souffrance.
-- Voilà... Rien de bien grave... Murielle qui était de service ce week-end doit partir d'urgence... Un deuil dans sa famille...
Stephan propulsait maintenant son pouce vers l'avant de la fente, ses petites lèvres s'humidifiaient lentement, son petit clitoris se raidissait sous les manipulations brutales.
-- Vous allez... Rejoindre votre grand-mère... Balbutia-t-elle d'une voix hachée, les sensations se faisant de plus en plus fortes.
-- Maman... Ca ne va pas? T'es malade? Questionna sa fille in-quiète.
-- Non... Non... Ca va... Je suis seulement... Essoufflée... J'ai cou-ru Jusqu'au... Téléphone! Répliqua Françoise tentant de toutes ses forces de se dominer, son ventre la taraudait maintenant, il s'animait d'une houle ardente, elle frottait toute sa vulve sur la paume de la main de Stephan.
D'un geste brusque, il retourna son poignet et voulut forcer du pouce les fronces de son anus récalcitrant.
Pour mieux parvenir à ses fins, extrayant ses doigts du con ruisselant il enduisit copieusement le fondement de ses secrétions intimes, puis réin-séra ses doigts dans le fourreau.
Il poussa d'un coup bref, l'anus de Françoise se déplissa, les sphincters s'arrondirent admettant le pouce fouisseur, Françoise ne put retenir un cri.
-- Aïe... ...
... Non... Non... Ma chérie... Je me suis heurtée le coude... Contre la tablette... Je... Je préviens votre grand-mère...
Et incapable de contenir plus longtemps ses halètements de jouissance, elle leur livra le spectacle de son orgasme en claquant le combiné sur son reposoir.
Elle n'arrêtait pas de jouir, d'avoir conversé avec sa fille alors que Ste-phan lui manipulait la moule et le cul avait fait sauter les derniers freins de sa libido, cette situation si particulière, malgré la présence indirecte de ses enfants, ou peut-être à cause d'elle, en dépit de son avilissement,
avait réveillé sa nature exigeante, elle savait maintenant que plus rien ne serait plus jamais comme avant, elle avait pris trop de plaisir en cette si-tuation incongrue.
Avec un plop sonore, Stephan extirpa le pouce de son cul et complimen-ta Miloud :
- Tu avais foutrement raison... Elle a le feu au cul... Quelle salope! Sous ses airs de sainte Nitouche, elle démarre au quart de tour, un doigt dans le fion et c'est le 14 juillet... Ah on va pas s'ennuyer, elle nous a demandé des efforts pour se la taper, mais maintenant que tu la tiens bien, tu verras qu'elle finira par y prendre son pied... T'en feras ta chienne, comme moi de Murielle, hein ma salope!
Et tandis que Murielle opinait de la tête, Françoise rougit comme une tomate, Stephan venait de traduire crûment tout ce qu'elle cherchait en-core à se cacher, les penchants masochistes qui s'éveillaient en elle et surtout le trouble émoi qu'elle ...