Un coin de paradis
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
Gay
Auteur: thomk44, Source: xHamster
... découvrais une saveur puissante.
- Aller suce.
Il accompagna son injonction par deux coups de rein violents heurtant le fond de ma gorge. Excité par les mots et ce déchaînement de désir, je projetais ma langue vers le gland pour en solliciter chaque parcelle.
- Oui, c'est bien.
Encouragé par les soupirs rauques, je continuais à danser autour de ce totem, projetant des incursions nouvelles vers des recoins inexplorés. Je m'habituais peu à peu à cette présence titanesque, lustrant les parois de ma bouche.
Pendant ce temps, il me pliait à ses désirs, dessinant sur mon dos des caresses, prenant possession de chaque centimètre de ma peau. Il m'avait mis complètement à nu. Avant même de m'en rendre compte, ses mains carrées avaient ouvert mes fesses et ses doigts violaient plusieurs fois sans vergogne mon intimité.
- Tu sens mes doigts dans ton cul ?
- Non, je ne m’en suis pas rendu compte. C'est tellement bon de te sucer.
Un long fil de salive me maintenait arrimé à son gland brillant de sécrétions brûlantes.
Je tournais la tête. Sa main était à plat sur mes fesses et je sentais une gêne persistante me vrillait l'anus.
- Je doigte ton cul depuis 10 minutes, mon beau. Ça m’excite drôlement tu sais…
- Non je préfère pas…
Je savais où il voulait en venir.
- Ok, laisse moi au moins te regarder pendant que je te caresse.
- Ok.
Il glissa entre mes jambes. Il poussa sur mes cuisses pour m'ouvrir. Dans cette position, je ne pouvais plus rien ...
... lui cacher de mon anus. Ses yeux enfiévrés.
- Tu as un beau cul.
Il cajola mes fesses quelques instants. Puis plongea son doigt entre mes fesses. Je sentais les légers va et vient au fond de moi.
- Ça va ? Je peux continuer ?
- Oui, tu peux.
J'avais l’étrange impression que son excitation se propageait à mon corps tout entier par cette caresse. Deux puis trois doigts finirent par m'ouvrir d’avantage. Mon bassin, mu par l'excitation, accompagnait cette terrible exploration. Je poussais des soupirs de plus en plus inconvenants. J'avais envie d’être dominer par cette homme, d’être à lui.
- Tu veux ma queue, maintenant ?
- Oui, je la veux.
- Tu veux que je t’encule ?
- Oui, encule moi, tout de suite.
Il me saisit derrière les genoux pour pousser mes cuisses vers ma poitrine et s’offrir un angle de pénétration idéal. Pendant quelques secondes, je vis le gland tumescent entre mes fesses. Puis la colonne s’enfonça jusqu’à ce que ses bourses velues viennent les heurter.
C’était bien au-delà de ce que je pouvais imaginer ou écrire. Les mots ici s'envolaient pour laisser place à des sensations bien réelles.
Je contemplais ses yeux mis clos, sa bouche ouverte sur des soupirs rauques, les mouvements saccadés de son bassin. Je ne pouvais croire que j’étais responsable de ça. Le rythme s’accéléra soudain.
- Je vais te remplir.
- Oui, vas-y joui.
- Ça y est.
Un râle puissant emplit la pièce. J’eus l'impression fugitive que sa queue se cabrait ...