Sylviane, pute à en devenir. (5)
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... d’un strass rouge, une canule à lavements, une espèce de ceinture de chasteté et une charmante tenue de soubrette. Hé bin dis donc, il y a du matos. Et c’est peu dire…
Je prends le plug et le regarde avec intérêt. Il fait dix centimètres de long pour un diamètre de six, bien plus large que ma bite. Une jolie imitation de pierre précieuse vient orner le frein.
Elle est de retour et elle rougit à la vue de toute cette panoplie étalée sur son lit. Tenant toujours le plug à la main, je le porte à ses lèvres. Elle le suce. Je le fait coulisser plusieurs fois. Elle ferme les yeux. Sa respiration s’accélère. Sans un mot, je la retourne et pèse sur ses épaules. D’instinct, elle s’appuie, bras tendus, jambes écartées et croupe offerte. Voilà une charmante position, cela pourrait devenir une position d’attente. je joue avec le plug autour de sa charmante rosace qui palpite d’impatience. Je tourne autour en resserrant les cercles. Elle souffle. D’impatience ? j’en suis sûre.
Je continue ma douce torture. Elle projette son gros fessier en arrière. Je rigole mais je continue mon travail de sape. Elle grogne tout en tortillant du cul. L’appel est tentant, j’enfonce l’objet de métal dans son fondement. Elle gémit de plaisir, elle souffle d’extase.
— C’est bien, ma belle, tu le portera à chaque fois que je serais là, compris ?
— Oui… Maître.
— Maintenant, range moi tout ça, il ne faudrait pas que ta fille tombe sur cet arsenal. A quelle heure rentre ta fille ?
— Je ne ...
... sais pas, parfois il lui arrive de découcher, elle est majeure depuis dix jours…
— Pour être sûr de ne pas tomber sur elle, on va aller chez moi et on verra plus tard comment lui annoncer notre relation particulière.
Son visage s’illumine. Je lui tend sa valise en lui disant qu’elle va en avoir besoin. Je choisis une petite robe courte en cuir blanc, des bas de la même couleur, un chemisier sans manche, des escarpins de dix centimètres et la veste de ma colocataire.
— Je vais être bon prince, je te laisse quinze minutes pour t’habiller et te maquiller. Dépêche toi…
Je l’attends dans le salon, non sans m’avoir resservis une binouze.
Trente minutes plus tard, nous sommes en bas de son immeuble. Nous déambulons dans les rues de la basse ville de Toulon. Elle est provocante à souhait. Sa robe lui moule les fesses et sachant qu’elle est nue dessous… Hummmm. Et ses seins, libres sous cette fine étoffe, je bande. Elle tortille du cul. Le rosebud doit lui faire de l’effet. Je l’arrête et la saisis par sa longue tignasse noire.
— Tu n’est qu’une pute, ma pute… Lui dis-je en la doigtant. Tu es sûr de vouloir devenir mon esclave ?
— Oui, me répond-elle en m’embrassant.
On arrive prés de la porte d’Italie, lieu bien connue de tous les junkies et autres toxicos. Je sais qu’il y a un sex-shop réservé à la baise. Un magasin avec des arrières salles privées et réservées à la débauche. Je connais cet endroit qui est plutôt fréquenté par les gays et vieux pervers de la ...