1. Sylviane, pute à en devenir. (5)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Dans l’ascenseur qui mène à son appartement, elle se colle à moi. Elle glisse ses mains froides sous mon pull. Je frissonne. Qu’elle sait être chatte mais perverse. Elle me griffe doucement en partant de mes omoplates jusqu’aux fesses. Je soupire.
    
    — Maître ?
    
    — Oui.
    
    — J’aime votre corps, si doux, sans aucun poil. J’aimerais vous masser, vous lêcher, vous manger…
    
    — C’est ce que j’avais prévu. Cela sera ta récompense. Tu as été sage et à chaque fois que tu le seras, je te récompenserai…
    
    Le choc de l’ascenseur arrivant à l’étage nous interrompt dans nos échange presque amoureux. ( là, c’est clair, je pars en couille.)
    
    Elle angoisse quand elle introduit la clé dans la serrure et me regarde comme un chat apeuré. elle pousse la porte, tout est calme, pas âme qui vive. Elle ne s’étonne pas de l’absence de sa fille. Je me mets nu.
    
    — Non, si elle revenait !!!!
    
    — Tu lui diras que je suis ton nouvel amant. Elle a du en voir défiler, non ?
    
    — Non… Enfin oui, mais pas dans cette tenue… Maître.
    
    — Il faudra qu’elle s’y fasse. Vas prendre ta douche, j’irais ensuite. Tu as de la bière ?
    
    — Oui; oui… Dans le frigo… Dit-elle avant de disparaître dans la salle de bain.
    
    C’est donc nu que je m’assoies dans le fauteuil, une bière dans la main et la télécommande dans l’autre. Je zappe sans rien trouver d’intéressant.
    
    Quand elle revient, elle est affublée de son peignoir immonde. A mon regard, elle le laisse tomber.
    
    — Bon, on va commencer par faire le trie dans ...
    ... tes fringues. Vas me chercher un sac poubelle.
    
    Dans sa chambre, ça respire le frais. J’ouvre sa commode. Je mets sur le lit toutes ses culottes, soutien-gorges. Je lui demande d’en faire autant avec ses pulls et ses jeans sans nom qui traînent dans son placard.
    
    Moi, je vais prendre ma douche. Ca sent la femelle. Je me savonne. Cela me fait bizarre de me savonner sans aucun poil. Je bande. Je souris. Dans le miroir je peux voir mon rostre se balancer au rythme de mes gestes sur mon corps. Qu’elle sensation fabuleuse. Le séchage est des plus délicat, La serviette réche me lime la peau mais j’y trouve une certaine jouissance.
    
    De retour dans sa chambre, elle est en train de fourrer son dernier pull dans le sac.
    
    — Voyons voir ce qu’il nous reste là, pas question que je traîne une souillon en ville.
    
    Je fais le choix de jeter toute ses robes longues ainsi que ses chemisiers à manches. Sa garde robe est presque vide. Seulement cinq mini-jupes et deux plus longues, ainsi que cinq chemisiers dont un écru sans manche.
    
    — Où sont tes jouets ?
    
    — Là, me dit-elle en me montrant une valise.
    
    — Bien, remets ton peignoir et descends moi tout ça dans le local poubelles et prends les escaliers. Ça ne peut que te faire du bien…
    
    J’installe la valise sur le lit. Ouf, elle pèse son poids. Et il y a de quoi. Tout un choix de vibro-masseurs, de godes de toutes tailles, des doubles dongs, un gode-ceinture, des perles de geisha, un œuf vibrant à télécommande, un plug-anal orné ...
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