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Des travaux chez une collègue de ma femme
Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, fbi, extracon, fépilée, ffontaine, Oral Auteur: Ericain, Source: Revebebe
... surpris par le fait qu’elle ré-aborde le sujet que je croyais clos et surtout sous cet angle. — Je comprends, mais ton petit copain ne te le fait pas ? — Je n’ai pas de petit copain, je n’en ai plus en ce moment et de toutes façons, non, il ne le faisait pas. Ni lui, ni les autres. Les hommes n’aiment pas trop ça apparemment. — Alors là, tu te trompes Frédérique. Il y a des hommes qui aiment beaucoup cela. Moi perso, j’adore. — Ta femme a de la chance. Je ne sais plus trop comment poursuivre la conversation sur un terrain aussi glissant. Je n’ose pas non plus changer de sujet tant celui-ci a l’air de lui tenir à cœur. Je préfère la laisser continuer. Un long silence s’ensuit qu’elle rompt tout à coup : — Tu serais d’accord pour me le faire ? Je suis très embarrassé par cette proposition. Elle est une très proche collègue de ma femme et je n’étais pas venu ici pour une aventure sexuelle. Embarras que j’exprime par une réplique des plus subtiles : — Euh ! — Bien entendu, ce sera un secret entre nous. Personne n’en saura jamais rien, ni ta femme ni personne. — Mais pourquoi moi ? — Tu viens de me dire que tu adores cela et tu es le premier homme que je croise qui me dit cela. Je reste silencieux en le regardant dans les yeux. Elle sourit. — Allez, s’il te plait. Juste une fois. Juste un baiser. Pas de sexe, pas de pénétration. — Ouaih ! Bon ! Mais à deux conditions. — Lesquelles ? — D’abord, moi aussi je suis comme toi. J’aime ça aussi et ...
... personne ne me le fait. — Elle ne te suce pas ta femme ? — Non, elle déteste. — OK, pas de problème, si tu me fais jouir avec ta langue, je te ferai la plus délicieuse pipe que tu n’aies jamais eue de ta vie. — La seconde condition est que je ne lèche que des minous rasés. Elle vient se mettre silencieusement à genou à côté de moi dans le canapé. Je tire sur la ceinture pour la dénouer et fait glisser le peignoir. Sa nuisette transparente laisse pointer ses tétons durcis par l’excitation de notre conversation. Je glisse la main sous le voile pour les caresser. Nous ne parlons plus mais nos regards échangent plus de sentiments que nous ne le ferions avec des mots. Je défais d’une main, un à un, les boutons de la nuisette et descends délicatement ma main vers le minuscule tissu qui lui masque le sexe. D’une main je lui caresse le dos et de l’autre j’écarte doucement l’élastique et glisse mes doigts pour découvrir un sexe totalement lisse et humide de désir. J’ai rarement eu cette sensation d’avoir la main inondée dès les premiers instants. Je sens sous ce string un sexe gonflé d’envie et des lèvres plus développées que celles que j’ai l’habitude de voir. Je la caresse doucement en commençant à lui déplier les lèvres pour mieux sentir sa moiteur. — Tu aimes ? — J’adore ! J’approche mon visage du sien. Elle me tend sa bouche et nous nous embrassons langoureusement. — Caresse-moi avec ta langue maintenant. Je lui retire sa culotte et l’allonge dans le canapé. ...