1. Des travaux chez une collègue de ma femme


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, fbi, extracon, fépilée, ffontaine, Oral Auteur: Ericain, Source: Revebebe

    J’ai promis à ma femme d’aider une de ses collègues à refaire les papiers-peints et les peintures du nouvel appartement qu’elle vient d’acheter. Nous avons décidé que, pour commencer, nous referions le séjour puis les autres pièces au fur et à mesure de mes disponibilités et de ses finances.
    
    Elle vit seule, n’a jamais été mariée. Je la connais en fait assez peu. Nous sommes allés une fois ou deux au théâtre ensemble et nous nous sommes rencontrés dans le cadre des festivités organisées par l’entreprise. À l’époque, elle semblait accompagnée. Je n’avais pas posé trop de questions.
    
    J’ai la cinquantaine et je vis parfaitement heureux avec la même femme depuis 30 ans. Frédérique a un milieu de quarantaine et donc les années d’expérience qui rendent les femmes plus sûres d’elles. Elle est petite, brune, les cheveux coupés au carré, les yeux noisettes et n’est pas désagréable à regarder même si ce n’est pas vraiment mon genre de femme.
    
    Je suis à pied d’œuvre depuis deux jours et j’ai proposé à Frédérique d’arriver un peu plus tôt ce matin-là, pour être certain d’avoir achevé les travaux de ponçage le soir même et d’en finir avec la poussière.
    
    Après de longues minutes d’attente, Frédérique m’accueille encore endormie, s’excuse vaguement, bredouille qu’elle avait oublié et pas vu l’heure. Elle est en nuisette transparente sur laquelle elle a enfilé à la hâte un peignoir sensé cacher un peu le caractère diaphane de la nuisette. Mais je me garde de faire un quelconque ...
    ... commentaire. Elle s’éclipse rapidement pour aller se préparer pendant que je prépare mes affaires.
    
    J’entends avec étonnement des voix féminines venant de la chambre. Je la croyais seule pourtant. Une jeune fille d’une vingtaine d’années passe dans le couloir, me gratifie d’un timide bonjour, saisit son manteau et ses affaires et disparait rapidement sans faire de bruit en s’excusant. Frédérique réapparait avec le peignoir mis en place, ceinture attachée et me dit confuse :
    
    — Ce n’est pas ce que tu crois.
    — Mais je ne crois rien, ne t’inquiète pas.
    — Mais si bien sûr, dès qu’on voit deux filles ensemble, on s’imagine toujours qu’elles sont lesbiennes.
    
    Je la regarde sans trop savoir quoi lui répondre. Pourquoi s’excuse-t-elle ? C’est sa vie après tout. Cela ne me regarde pas.
    
    — Je ne suis pas une gouine, insiste-t-elle.
    — Oui j’ai compris, tu es bi. Tu n’es pas la seule tu sais à aimer les filles.
    — Tu veux un café avant d’attaquer ?
    — Oui, volontiers !
    
    Je suis plutôt satisfait que le sujet ne s’éternise pas tellement je m’y sentais mal à l’aise. Frédérique s’éclipse à la cuisine et je continue de préparer mon matériel. Elle revient avec les expresso sur un plateau et m’invite à la suivre dans la pièce du fond où nous avons réinstallé un coin salon de fortune pendant les travaux. Je m’assois dans le canapé, elle prend le pouf en face de moi.
    
    — En fait, j’ai besoin de tendresse. Et pour être tout à fait sincère, j’adore me faire lécher le minou.
    
    Je suis ...
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