1. Ma belle ensorceleuse


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, fplusag, massage, Oral nostalgie, amiamour, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    ... très, très excité et elle pressée car elle attendait le facteur. J’étais dans son salon et, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai sorti mon sexe et lui ai dit « caresse-moi ». Là où j’attendais une empoignade franche et quelques allers-retours qui calment mes ardeurs, je sentis une main douce, très douce, même trop, me frôler le sexe… Une douceur qui ravivait l’intensité de mon désir sans le perdre… Ses doigts de fée tels une plume agaçaient mon sexe, j’avais envie qu’elle me fasse jouir mais elle prenait son temps… Une caresse sur le gland, une sur la hampe, sans appuyer… Je me tordais de désir sur son canapé et elle me souriait, m’agaçait de petits baisers sur le coin de ma bouche puis, au bout de longues minutes, se décidait enfin à frotter mon sexe plus fort. J’eus à peine le temps d’ouvrir les pans de ma chemise que mon sperme se déversait à grandes giclées sur mon ventre. Elle s’essuya la main sur les poils de mon pubis, m’apporta un essuie-tout pour que je me nettoie. Il était temps, on sonnait à sa porte et tandis que je me rajustai je l’entendis qui discutait très naturellement avec le facteur.
    
    Jamais je n’avais ressenti de plaisir si intense et si doux. Je ne savais pas que j’avais découvert là un jeu dont je ne me lasserais pas.
    
    Lorsque je divorçais, je revis souvent Alice. Nous nous appelions aussi et un jour, je lui annonçais ma venue le lendemain matin et lui dit en plaisantant :
    
    — Je ne viendrais pas trop tôt, il faut que tu aies le temps de te ...
    ... préparer, de prendre ta douche car je te ferais jouir de ma bouche.
    
    Elle eut un rire très coquin puis m’avoua que jamais un homme ne lui avait fait cela.
    
    Le lendemain, c’était le début de l’été, et elle avait un petit corsaire blanc et un t-shirt rouge, moulant. Bien sûr, elle me prépara un café, minauda, me raconta ses petites histoires, ses petits malheurs, se laissant voler un baiser de-ci, de-là, attendant que je sois cramoisi de désir. Avec indulgence, elle me lança :
    
    — Allez va, on va monter dans ma chambre, sinon il va arriver une catastrophe.
    
    Elle quitta lentement ses boucles d’oreilles, sa montre puis me dit avec un grand sourire :
    
    — C’est l’homme qui doit déshabiller la femme, normalement.
    
    J’enlevai son t-shirt, elle avait un magnifique soutien-gorge rouge et noir. Je l’allongeai sur le lit et commençai à l’embrasser. Puis je dégrafai son corsaire, me levai pour enlever ses chaussures et lui ôter son bas. Elle avait une culotte assortie. Je la contemplais.
    
    — Mais que fais tu ?
    — Je t’admire !
    — Vraiment, il n’y a pas de quoi, une vieille comme moi !
    — Tu rigoles ! et en plus ta lingerie ! Tu fais tout pour que je sois fou de toi !
    — Oh tu sais, j’ai toujours aimé porter de belles choses.
    
    À nouveau, je m’allongeai auprès d’elle, encore habillé, en chaussettes, et je caressai chaque millimètre de sa peau, ses seins volumineux, son ventre un peu rond, ses fesses, puis mes doigts vinrent dans son sexe
    
    — Dis donc, il n’y a pas que moi qui suis ...