1. Ma belle ensorceleuse


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, fplusag, massage, Oral nostalgie, amiamour, Auteur: Michel757, Source: Revebebe

    Alice a 63 ans : petite, forte poitrine, un regard coquin, des fesses cambrées, toujours bien mise, et un sourire ! Je l’ai connue il y a plus de dix ans. Comptez : aujourd’hui j’en ai 48.
    
    Lorsque je l’ai serrée dans mes bras pour la première fois, j’ai ressenti un désir puissant que je ne maîtrisais ni n’analysais pas. Notre première étreinte fût passionnelle et, je dois l’avouer, le plaisir n’a pas tardé à venir remplacer le désir si bien qu’elle n’y trouva pas son compte. Une fois notre coït fini, je ressentais un grand vide, doublé d’une honte de m’exciter ainsi pour ce que l’on considère vulgairement comme « une vieille ».
    
    De plus, nous nous fréquentions en « amis » dans le civil. J’étais désolé pour cette foucade. Je ne tardai pas à prendre congé, et, au moment de la quitter nos lèvres se sont rejointes à nouveau et une immense érection m’a immédiatement gagné. Elle était restée en peignoir, moi déjà rhabillé et en quelques secondes je l’emmenai dans sa cuisine, baissai mon pantalon, m’assis sur une chaise et elle vint s’empaler sur mon dard. Cette fois, elle eut un orgasme ravageur et je sentis des litres de son liquide se déverser sur mes cuisses : j’avais affaire à une femme fontaine.
    
    Écœuré et excité à la fois, je la quittai, ne comprenant pas ce qui m’arrivait.
    
    Nous ne nous revîmes pas d’un mois, jusqu’à ce qu’elle me téléphone dans le cadre de nos activités communes, pour que je vienne l’aider à rédiger des courriers.
    
    J’écrivais, tant bien que ...
    ... mal, sur la table de sa cuisine. Et elle était assise en face de moi, un décolleté magnifique sans être vulgaire. Elle me souriait souvent, me parlait de notre courrier comme si rien ne s’était passé. Souvent elle se levait, pour aller chercher un document, pour me préparer un café et, l’air de rien, me frôlait en souriant jusqu’à ce que je pose mon stylo et lui dise :
    
    — Alice, je n’en peux plus !
    
    Elle eut un petit rire :
    
    — Ne me dis pas que je te fais tant d’effet, à mon âge !
    
    Et je l’embrassai goulûment. Elle m’emmena dans sa chambre et se déshabilla. Elle portait des sous-vêtements magnifiques, et sans plus attendre je la pris en levrette, elle accrochée à sa coiffeuse et je l’entendis gémir :
    
    — Oh Michel, tu me fais jouir !
    
    Puis très naturellement elle alla se doucher, se changer, et nous sommes retournés à nos occupations.
    
    J’étais pris au piège de ma belle sorcière.
    
    Souvent, elle joua encore à ce petit jeu et trop souvent je fus victime d’éjaculations précoces tant elle m’excitait. C’est pourquoi, étant marié à l’époque, et elle veuve, je luis dis que nous ne devions plus nous revoir. Mais la vie en décida autrement.
    
    Elle m’invita à nouveau « en copains » pour que je l’aide dans des démarches administratives. Comme un collégien, encore je bandais. J’étais de plus pressé et j’allais me masturber dans ses toilettes pour me calmer. Je résistais encore à ce désir que je ne maîtrisais pas.
    
    Un jour où je passais chez elle, une nouvelle fois j’étais ...
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