1. Nouveau jeu... troublant !


    Datte: 11/11/2018, Catégories: fh, couple, copains, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, nostalgie, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... !
    
    Nous partagions alors des moments torrides Alain me chuchotant à l’oreille que ce n’était pas lui, mais Pierre qui me caressait, m’embrochait tendrement… Mon orgasme en était décuplé, le sien aussi !
    
    Début juillet, Pierre passa avec son épouse prendre un verre à la maison. Installés sur notre terrasse, nous discutions de choses et d’autres lorsqu’Alain lui parla de son intention de refaire la clôture du jardin en y ajoutant un portail et en déplaçant notre jacuzzi. Seul le temps lui manquait. Pierre se proposa pour effectuer ces travaux, car il disposait d’une semaine de liberté et maîtrisait la technique nécessaire. Une petite heure plus tard, ils s’étaient mis d’accord, la semaine suivante Pierre attaquerait, aidé par un ami et son fils.
    
    Quatre jours de travail harassant, sous un soleil de plomb et il ne restait que quelques travaux de finition pour redonner à notre jardin son aspect accueillant. C’est Pierre qui voulut terminer seul, la présence de ses aides ne se justifiant plus.
    
    Un après-midi, je suis rentrée à la maison pour me reposer un peu avant de retourner finir la journée avec ma serveuse à qui j’avais confié mon commerce. Alain et Pierre étaient dans le jardin, finissant d’installer le portail. Je suis allée m’allonger sur le canapé du salon pour une courte sieste, profitant de la fraîcheur de la pièce. La baie vitrée donnant sur la terrasse était ouverte et j’entendais les infatigables travailleurs discuter au fond du jardin. Je me suis assoupie ...
    ... lorsqu’une main glissa sur mon épaule, entraînant la bretelle de ma robe pour découvrir un sein que des lèvres chaudes vinrent agacer. C’était Alain. Il avait abandonné Pierre un moment pour venir chercher à boire et me voyant allongée avait eu envie de me caresser tendrement.
    
    Ses lèvres vinrent cueillir les miennes et nous échangeâmes un long et tendre baiser tandis que sa main remontait maintenant sur mes cuisses, entraînant le bas de ma robe jusqu’à dévoiler mon intimité. (Eh oui, avec cette chaleur, j’avais ôté mon dernier rempart !) La paume de sa main presse légèrement l’intérieur de la cuisse, je m’ouvre à ce doux contact, offrant ma courte toison et mon antre déjà humide à des doigts curieux et habiles. Une intense chaleur remonte de mon ventre jusqu’à mes seins qui durcissent à m’en faire mal. Deux doigts coulissent lentement en moi, frôlant au passage ma petite perle affolée et m’arrachant de petits gémissements.
    
    — Alors, mon cœur, on s’offre une petite sieste pendant que les hommes travaillent ? J’espère que tu rêvais à moi, ma jolie coquine, tu es déjà toute mouillée…
    — Hummm… Peut-être ! En attendant, tes caresses sont délicieuses mon amour.
    — Tant mieux, mais j’ai tout de même un petit doute. N’était-ce pas aux doigts, aux lèvres de Pierre que tu rêvais ?
    — Arrête ! Tu es fou ! Ne me fais pas fantasmer comme ça…Hummm…
    — Tu vois, j’avais raison ! Alors je vais te laisser rêver et retourner travailler. Méfie-toi tout de même que Pierre ne passe pas trop ...
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