1. Nouveau jeu... troublant !


    Datte: 11/11/2018, Catégories: fh, couple, copains, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, nostalgie, Auteur: Kristal, Source: Revebebe

    ... les regards. Le chemisier dont deux boutons sont restés dégrafés laisse deviner mes seins lourds et fermes. Assez fermes pour… ? Oui ! Et d’un geste décidé, je fais glisser mon soutien-gorge qui atterrit sur ma coiffeuse. Après tout, je m’apprête bien à lui offrir plus encore. Cette fois je retrouve la Kris que j’aime… ! Attirante sans être vulgaire, avec juste ce petit côté sexy qui attire sur moi bien des regards masculins (Et féminins…)
    
    L’angoisse n’a pas le temps d’envahir mon esprit, le carillon de la porte d’entrée me fait sursauter. Ma main tremble un peu sur la poignée. Il est là, face à moi, son regard gris plongé dans mes yeux, son sourire désarmant éclaire un visage volontaire, encadré de cheveux agréablement grisonnants…
    
    — Bonjour… ! Comment va ma charmante amie solitaire ? Alain a fait bon voyage ?
    — Bonjour Pierre ! Tout va bien, et toi, comment vas-tu ?
    — On ne peut mieux, surtout en présence d’une aussi jolie femme. Tu es resplendissante ! ajouta-t-il en laissant descendre son regard sur moi.
    
    Ses mains sur ma peau ne m’auraient pas fait plus d’effet que ses yeux. J’ai eu l’impression d’une longue caresse qui m’arracha un petit frisson au creux des reins.
    
    — Entre, Pierre… Je suppose que tu prendras un café ? Assieds-toi, j’arrive tout de suite.
    — Avec plaisir, merci !
    
    Il prit place dans un fauteuil face au canapé pendant que j’allais jusqu’à notre cuisine ouverte. Le temps que le café coule, je pouvais le voir, toujours souriant. Une petite ...
    ... boule au creux de l’estomac, une légère oppression au niveau du cœur, je le regardais aujourd’hui différemment, l’admirais presque avec, en même temps, une pensée pour Alain mon mari qui devait lui aussi penser à moi. Je saisis mon portable et tapotai discrètement :
    
    À peine avais-je posé les tasses sur un petit plateau que mon téléphone s’illumina. Réponse de mon amour :« Je t’aime, je pense fort à toi, à vous… Et si Pierre n’ose pas faire le premier pas, je sais que tu en as envie, alors fais-le à sa place ma kokine adorée ! »
    
    Ce nouvel aval d’Alain était on ne peut plus clair. Il désirait vraiment que j’aille au bout de mon envie, de mes désirs. Je jette encore un regard vers Pierre, toujours sagement assis dans son fauteuil et, moi, moins sage brusquement, je fais sauter un troisième bouton à mon chemisier.
    
    Une bouffée de chaleur colora mes joues lorsque j’ai déposé mon plateau sur la table basse, face à Pierre dont je sentis le regard plonger dans l’échancrure de mon chemisier. Je savais désormais qu’il pouvait admirer la totalité de ma poitrine largement offerte. Plus que son regard, j’aurais aimé ses mains, ses lèvres sur mes tétons qui tendaient le fin tissu, sur mes hanches, au creux de mes reins. Mais c’est dans la profondeur du canapé que mes reins vinrent se poser, non sans que l’ourlet indiscipliné de ma jupe ne glisse pour dévoiler mes jambes un peu plus haut que la décence le permet. Il fallait à tout prix que je parle, le silence, nos regards formaient ...
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