Nouvelle vie
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
fh,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
fgode,
légumes,
fdanus,
fsodo,
aliments,
glaçon,
sf,
Auteur: iam.knowbodies, Source: Revebebe
... :
— Ça vaudrait presque un holo…
— Peut-être… Mais pourquoi s’acharner à fixer quelque chose d’éphémère par nature ? De toute façon, je n’ai pas d’appareil sous la main, et je n’ai pas envie d’aller en chercher un, alors…
— Ah là là ! Qu’est-ce que c’est paresseux, les garçons ! En même temps, tu n’as pas forcément tort.
— Et puis ça nous donnera un bon prétexte pour recommencer !
Après une petite pause contemplative, Braise fait mine de s’impatienter :
— On pourrait manger, maintenant, non ? J’ai hâte de goûter aux lianes…
— D’accord, mais comment tu manges, toi ? Je te donne la becquée ?
— Ça aurait son charme, mais si tu m’aides un peu, je devrais pouvoir y aller avec les doigts.
— Alors, c’est parti pour l’opération défrichage !
Lentement, en commençant par les « racines », ils grignotent la luxuriante végétation recouvrant les jambes de la jeune fille. Afin de ne pas froisser le papillon, qui s’ébroue légèrement à chaque bouchée avalée, elle doit s’en remettre à la vue de son compagnon pour recueillir sur ses doigts une feuille ou une longueur de tige, et la lécher avec sensualité… en essayant de faire abstraction de la langue qui l’aide à parfaire le nettoyage. Ce qui devient ardu lorsqu’ils terminent par les dernières feuilles, au creux des cuisses. Mais si sa fleur est déjà ouverte et débordante de nectar, ils savent devoir attendre le dessert pour la butiner.
Leur vraie découverte, c’est le partage du goût. Ils n’avaient encore jamais vraiment ...
... fait attention à ce sens, dans leurs échanges mentaux. Du moins, pas à table. Pourtant, sentir les mêmes aliments, à même la peau, de deux façons subtilement différentes… Ils découvrent tous deux des saveurs, et mêmes des textures, qu’ils n’avaient jamais ressenties par eux-mêmes.
— C’est comme si deux instruments à l’accord légèrement différent jouaient la même mélodie, remarque le jeune homme.
— Ah oui, tu as raison, c’est tout à fait ça ! Ça donne une espèce de… profondeur. Dis-donc, avant de croquer l’insecte, tu pourrais commencer à te déshabiller, toi aussi, non ? Tiens, enlève juste une pièce, prends ton temps, comme pour un strip-tease…
Il se place sur le côté, bien dans son champ de vision restreint, et débute une espèce de danse lente et lascive qui, à défaut de maîtrise et d’expérience, marque son enthousiasme pour l’exercice. Tout en se déhanchant, il joue un peu avec sa tunique, s’en caresse la poitrine et le dos, avant de la faire lentement glisser de ses épaules à ses pieds. Maintenant torse-nu, il n’est pas besoin d’échanges psychiques pour reconnaître la protubérance qui déforme son pantalon blanc, juste sous la ceinture noire qui semble le couper en deux.
Après cet intermède, ils s’attaquent au malheureux lépidoptère. Ardent s’est agenouillé à califourchon sur la taille de la jeune fille, la massant très lentement de son bas-ventre durci. Cette fois, Braise se laisse donner la becquée, suçant avec équivoque les doigts nourriciers, tout en rejetant ...