1. De fil en aiguille


    Datte: 10/02/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, extracon, cocus, Collègues / Travail danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: 1bichon, Source: Revebebe

    ... par notre invité qui comme moi, ayant constaté depuis longtemps ma complicité, s’arrangea pour lui toucher le sein en la prenant dans ses bras. Véro fit mine de rien mais ce geste ne m’échappa pas car je savais que cela n’était pas un faux mouvement. Ils se regardèrent intensément, me laissant croire à la possibilité d’échanger un baiser langoureux, puis Véro posa sa joue gauche contre Damien et ce dernier lui flatta le dos très tendrement.
    
    Lors de leur rotation, je fus surpris de constater que ma puce avait les yeux fermés et je compris qu’elle savourait ce moment câlin tandis que Damien lui caressait doucement le bas du dos et la fesse, d’abord derrière, puis devant moi.
    
    Sentant nos mains devenir trop caressantes, et peut-être pour ne pas aller trop loin justement, elle déclara forfait à la fin du slow et nous annonça qu’elle était fatiguée. Elle alla prendre un verre d’eau à la cuisine, alluma pour ce faire la pièce, ce qui permit de révéler franchement sa poitrine aux tétins érigés puis, sitôt son verre posé, je la pris dans mes bras en lui annonçant que j’allais la porter au lit. Ces mots désolèrent mon acolyte qui nous souhaita bonne nuit et comprit que la soirée touchait à sa fin. Comprenant sa déception, mais gagné par l’excitation, je me suis arrangé pour mettre ses fesses en vue en levant haut ses jambes en la prenant dans mes bras, puis j’ai demandé à mon comparse :
    
    — Éteins le chenillard et viens m’ouvrir les portes, s’il te plaît ; je te donnerai de quoi ...
    ... dormir après.
    
    Attendant qu’il se trouve sur mon chemin pour lui faire toucher furtivement la peau des fesses de Véro, j’ai forcé le passage du couloir pour lui mettre la poitrine de ma puce sous les yeux et l’obliger à lui toucher les fesses de la main.
    
    Pénétrant dans le long couloir de la chambre, je lui ai ensuite demandé d’allumer la lumière de la table de nuit pour le faire pénétrer dans notre chambre sans éveiller les soupçons. Sitôt exécuté, je lui mis ma puce dans les bras en lui disant de la tenir en attendant que j’ouvre le lit, oh juste une couette, seul stratagème qui me vint à l’esprit pour qu’il la touche un peu.
    
    Lorsqu’il la souleva, elle n’eut d’autre choix que de lui passer la main autour du cou pour se retenir, ce qui facilita de fait le changement de partenaire. Croyant que nous la mettions simplement au lit, confiante, elle le tint par le cou à deux mains, bien qu’à moitié ivre de fatigue et d’alcool. Il rajusta sa prise en la resserrant contre lui, matant sa poitrine offerte sous ses yeux par la même occasion, tandis que je contournais le lit pour l’ouvrir et me positionner dessus, prêt à la reprendre… ce que je ne fis pas pour lui laisser le soin de la déposer lui-même au risque d’un contact avec sa poitrine.
    
    Une fois posée sur le lit, il se redressa. Le voyant prêt à nous laisser, je lui ai proposé d’attendre qu’elle soit couchée pour qu’il puisse lui souhaiter bonne nuit. Il comprit où je voulais en venir en suivant mon regard courir sur le ...
«12...567...12»