1. De fil en aiguille


    Datte: 10/02/2018, Catégories: fhh, couple, couplus, extracon, cocus, Collègues / Travail danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: 1bichon, Source: Revebebe

    ... arguant un entraînement sportif pour s’échapper ; mais, devant mon insistance, il accepta une invitation à dîner pour le lendemain soir. Tombés d’accord, après bises et poignée de mains, il enfourcha sa moto puis nous quitta. En montant l’escalier, je me mis à imaginer ma puce la jupe au vent et le corps collé au dos de son serviteur. Dans mon esprit, elle avait les bras serrées autour de la taille de Damien et devait se tenir fermement à lui car elle n’avait jamais fait de moto. Je m’abstins toutefois de lui en parler pour ne pas paraître jaloux.
    
    Le samedi matin, nous fîmes les courses en vue de préparer un repas simple et sympa. La chaleur de l’appartement, au quatrième et dernier étage étant étouffante, nous nous mîmes en petite tenue et lézardâmes tout l’après-midi en attendant la soirée. Vers dix-sept heures, une fois le dessert préparé, ma puce prit une douche pour se désaltérer et alla s’habiller comme j’aimais la voir lorsque nous sortions : jupe patineuse noire et caraco rouge. Elle portait son bel ensemble de lingerie bordé de dentelle noire que nous appelions « trois pièces », composé d’un soutien-gorge blanc et noir assorti à une culotte sur laquelle était dessinée une cravate rouge en lieu et place du pubis, le tout imitant un haut de chemise blanche sous une veste noire.
    
    Damien arriva comme demandé vers dix-neuf heures trente. Il était vêtu d’une veste assortie à un pantalon léger en lin et d’une chemisette, et avait les mains porteuses d’une bouteille de ...
    ... Bordeaux et d’un bouquet de saison.
    
    Nous fîmes plus ample connaissance en parlant de tout et de rien. Le repas fut agréable et mon stratagème de laisser la place à notre invité face à ma puce autour de notre table étroite de cuisine pour les émoustiller fonctionna. En me levant pour prendre les plats, je vis que leurs jambes se touchaient, ce qui devait les troubler car plusieurs fois leurs regards se croisèrent sans échange de dialogue. Cela m’amusa de voir comment ils géraient ce contact presque charnel et, pour ne pas éveiller les soupçons, je servis une deuxième tournée de vin sitôt leurs verres vides. À la fin du repas, nous avions bu un apéro, une bouteille et demi de vin à trois et un peu de rhum dans la salade de fruits faite maison.
    
    Le seuil critique pour conduire étant sûrement atteint, je fis la proposition à Damien de dormir chez nous pour ne pas risquer de tomber sur un contrôle. Véronique approuva aussitôt car elle était légèrement éméchée elle aussi. N’ayant pas le choix, celui-ci accepta et nous prîmes la direction du salon. Puisque la nuit nous appartenait, nous nous assîmes sur mon lit d’adolescent, lit en 90 cm qui nous servait de canapé, adossés contre le mur, les jambes étendues.
    
    Nous poursuivîmes notre conversation avec RFM en léger fond sonore, encadrant chacun d’un côté ma puce qui nous dévoilait ses jambes dans une ambiance détendue. De plaisanterie en chamaillerie, j’en vins à lui chatouiller la taille et l’amener à se débattre pour tenter ...
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